Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

lundi, juin 30

Pendant que Radisson est charmé par les nuages...

Les cons légifèrent toujours!

D'ailleurs... Près d'un mois après l'entrée en vigueur de la loi qui interdit d'étaler les produits du tabac à la vue des consommateurs, les dépanneurs vendent autant de cigarettes qu'auparavant. (Le Devoir)

Au moment où la loi est entrée en vigueur, je ne l'ai pas commentée mais, je l'ai vécue de l'intérieur. C'est qu'à l'épicerie, on vend du tabac aussi. Je pensais, je pense et je penserai toujours que c'est une (autre) loi totalement ridicule. Imaginez. À l'épicerie où je travaille, quand on passe à la caisse, on voit l'ostie de valideuse de Loto-Québec, on voit l'alcool et le vin de la SAQ, mais pas les cigarettes.

Bonjour les enfants!!!
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Un lundi sans histoire!

La vie c'est comme la bicyclette, il faut avancer pour ne pas tomber. (Albert Einstein)
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jeudi, juin 26

Parlons de chihuahua!

Il ventait fort hier dans les bureaux de La Presse...

Après tout, comme journaliste
, je suis un chien de garde de la démocratie. (Patrick Lagacé)

Chien de garde tu dis? Et ça, tu trouves ça démocratique?

Le ministère des Transports du Québec a discrètement réalisé une première dans l'histoire de son réseau routier, jeudi, en confiant l'entretien courant et le déneigement de 32 km d'autoroute à un concessionnaire privé, et ce, pour une durée de 35 ans. (Cyberpresse)
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mercredi, juin 25

La sauce a tournée...

Y'a pus d'amour dans l'air!

Je sais pas quoi dire. Je suis un peu triste aujourd'hui, je m'en donne la permission, demain je ne le serai plus.
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Madame la présidente...

Je vous fais une lettre
Que vous lirez sûrement

Je suis trop vite
Vous dites

D'accord
C'est la passion

Passionné
Ça joue des tours

C'est parfois décevant
On s'en remet tout le temps

Je vous trouvais belle
Je le pense encore vraiment

J'étais content et je l'ai dit
Aurais-je dû me taire?

Jamais
J'aimais

Madame la présidente
Pardonnez cette incartade

Vous êtes belle
Que voulez-vous?

Belle a faire perdre la tête
Dites-le à vos gendarmes

Madame la présidente
Je vous fait une lettre

Parce que je ne comprends rien
Parce que j'aimais le moment

Demain, madame la présidente
C'est plus loin

Demain, madame la présidente
Ça vous appartient
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Le temps d'une rose...

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mardi, juin 24

Un peu dans les nuages...

Qui sont merveilleusement beaux à Radisson!

«
À 85 ans, j'ai peut-être un pied dans la tombe, mais l'autre, je suis encore capable de le lever assez haut pour botter l'cul d'un ministre. » (Le très grand... Michel Chartrand)

Hier, c'était le party de la St-Jean à Radisson...

Je commence à croire que c'est proche du paradis.. ici!

Quand je suis arrivé à la fête, un ti-peu en état d'ébriété, avec ma nouvelle douce, je l'ai planté là, pour aller saluer tous ceux que je connais. Héhé, je les connais presque tous. C'est bien certain que de travailler à l'épicerie procure un avantage certain, quand t'aimes les humains. Ici y'en a pas beaucoup, c'est plus facile!
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Vous savez quoi? Ma nouvelle douce trouve que ce que j'écris lui fait penser à Michel Chartrand. C'est un sacré beau compliment. Elle aime me lire, tout comme mon ex... qui me lit encore. Salut Marie.
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Je pense depuis longtemps que l'avenir est dans la jeunesse, ils sont tellement beaux. Hier soir, mon plus beau cadeau de la soirée, a été Noémie. J'ai adoré le party et toutes les rencontres, mais, Noémie, 17 ans, qui avait lu dans mon carnet qu'il y a de l'amour dans l'air, m'a sauté dans les bras, et fait un superbe câlin, quand elle a su qui était cette belle aux beaux yeux. Je vous dis, c'est un criss de beau cadeau qu'elle m'a fait Noémie. Au moment où j'écris ces lignes, je n'en reviens pas encore...
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Je n'ai pas chanté Le déserteur, c'est que ça ne devait pas arriver. Mais je l'écoute encore, et la sais presque par cœur.
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Ça fait vivre de drôles d'émotions d'être en amour. Ma petite voix me dit que tout va bien... aujourd'hui. Celui qui a initié l'idée, peut-être Bill W., un jour à la fois, était définitivement génial.
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S'il faut donner son sang, aller donner le votre, monsieur le président...
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De plus en plus déconnecté de l'actualité. C'est ben correct.
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Hé, y'a de l'amour dans l'air, merci la vie.
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Je fermerai ma porte au nez des années mortes...
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Si vous avez lu ce billet jusqu'à la fin, ben je vous dis merci. J'écris pas souvent, mais vous êtes des lecteurs tellement extraordinaires, que de temps en temps, il faut que je vous dise.
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lundi, juin 23

Des choses qui arrive!

Y'a de l'amour dans l'air...

Et moi qui pensais que ça ne m'arriverait plus jamais!

Allez, bonne semaine... comme dirait le tartempion à lunette!
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mardi, juin 17

Page rose...

J'ai découvert la raison qui fait que j'écris moins souvent. C'est très simple...

J'ai une vie "sociale" à Radisson, ce que je n'avais pas à Montréal!

Hier, j'ai joué au golf avec des amis. Non, non, pas sur un vrai terrain, avec une "machine". Ce fût super trippant, nous avons bien ri.

Avant-hier, j'ai fait du bateau sur la rivière Sakami. Ça faisait très longtemps que je n'avais pas tenu une canne à pêche dans mes mains. Ça n'a pas mordu et ça m'a rappelé que la pêche n'était pas mon activité préférée. Passer une journée dans le bois, sur un lac ou sur une rivière, j'adore ça. Manger du poisson, je le ferais à tous les jours. Mais pêcher, quand ça mord pas??? Pas assez patient!

Ici, parce que les gens se parlent, il est possible de nouer de belles amitiés. Le phénomène ne s'applique pas qu'à Radisson, bien sûr, mais c'est fascinant quand même. Et dans mon cas, ça répond à un besoin. J'aime les humains, y'en a de magnifiques...

Ah oui, j'ai eu une "promotion" à l'épicerie. J'étais caissier, je suis maintenant commis. J'aime toujours autant travailler à cet endroit et le salaire sera meilleur, que demandez de plus?

Toujours dans la catégorie bonne nouvelle; j'ai maintenant un vélo. À Montréal, je n'ai jamais réussi à en garder un, même en le barrant. Je me les faisais toujours voler. Ici, je l'ai eu gratuitement, je l'ai encore... et je ne le barre jamais!!!

Merci Sylvie!

J'ai ouvert la télé ce matin, ça devait faire au moins une semaine qu'elle dormait. Je suis tombé sur l'émission de Richard Martineau, à LCN. Il a parlé de voiture électrique avec un expert, de petite fille de 13 ans, avec un autre expert. Il a aussi donné(sic) son opinion sur la nouvelle loi qui interdit de fumer dans une auto, quand il y a des enfants, en Ontario. Rien à rajouter, sinon qu'il m'a donné envie de le parodier... si j'ai le temps!

J'ai aussi écouté le début de l'émission; Le club des ex... mais il y a eu panne d'électricité. Elle n'a duré que quelques minutes, ça arrive souvent ici, quand c'est revenu, la boîte à grimace est resté fermée.

Ouais, c'est vrai, vive les petits villages!

Les p'tits villages sont le dernier vestige de l'humanitude, des relations à l'échelle humaine, des contacts quotidiens personnalisés. Les p'tits villages respirent et permettent à leurs citoyens de respirer. Les p'tits villages sont une bouffée d'air frais dans une société qui étouffe. (Vieux Henri)
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mardi, juin 10

Oui allo...

T'es chez-vous, tu déranges personne, tu fais quelque chose d'intéressant, répondre à des commentaires...

Et pis là, tu reçois un appel de quelqu'un qui te dit que, si approuvé, tu vas recevoir une belle carte de crédit!!!

Moi: Oui bonjour, d'un ton joyeux.
Lui: ...
Moi: ALLO, 1, 2, 3, 4... à 5, j'avais l'intention de raccrocher.
Lui: Bonjour monsieur, vous allez bien?
Moi: Pourquoi vous voulez savoir ça?
Lui: C'est pour vous annoncer que si approuvé, vous allez recevoir une belle carte de crédit Master Card, Or, d'ici trois, ou quatre semaines...
Moi: Ça m'intéresse pas. Je vous ai dit la même chose la dernière fois.
Lui: Pourquoi monsieur, vous avez d'autres cartes de crédits?
Moi: Regarde, je veux rien savoir. ... Je voudrais être retiré de votre liste d'appel.
Lui: Oui monsieur, pas de problème... il faut appeler le 1-800...
Moi: QUOI? Il faut que j'appelle moi-même??? Oublie-ça, j'ai pas une criss de minute à perdre à me faire chier par une machine qui me dit que pour le service in french, puch two. De toute façon, vous allez être tellement déprimés, après nos "conversations" que vous allez finir par m'enlever. Ceci étant, vous me dérangez, je suis en train d'écrire, faque, merci BONSOIR.

Et j'ai raccroché.

Non mais tsé, ceux qui appellent sont de pauvres vendeurs qui ont besoin de gagner leur vie. Sauf que moi aussi, j'ai besoin de gagner ma vie, et la seule fois que j'ai essayé de vendre des cartes de crédit, ce fût une catastrophe. J'ai juste eu besoin de trois jours pour comprendre que ce que je faisais, c'était de l'ostie de marde.

Tout ça pour dire que je n'ai aucune pitié pour ceux qui persistent dans le métier. Rappelez-moi encore, promis, ça va me faire plaisir de gâcher votre journée!
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lundi, juin 9

Tant qu'a rire jaune...

« Je ne comprends pas qu’un être normalement doué de sensibilité ne pleure pas pendant les informations. » Daniel Pennac

Chaque fois que Gilles Duceppe ouvre sa "trappe", j'ai envie d'en rajouter!

Ce matin, dans Le Devoir, on pouvait lire que Gilles n'est pas satisfait de la reconnaissance de la nation québécoise par le gouvernement Harper. Il est très inspirant le Gilles...

Gilles: Stephen, s.v.p., fais quelque chose. Ça ne veut rien dire ton affaire...
Stephen: Pourtant, sale con, t'étais content quand nous avons voté cette reconnaissance au parlement.
Gilles: Je sais bien Stephen, mais, pitié, ne sois pas trop dur avec moi, je me sens mou.
Stephen: Pauvre naïf. Les sondages sont défavorables pour ton parti, et tu penses que je vais faire quelque chose pour t'aider? T'es vraiment con.

Gilles: Je sais bien que tu ne feras rien mais, laisse-moi continuer de berner mes concitoyens, je veux dire, laisse-moi continuer de défendre leurs intérêts, à Ottawa. Ne pète pas cette "bulle", au moins.
Stephen: Y'a une chose que tu ne comprends pas encore, tes concitoyens ne pas tous imbéciles. Ils commencent à voir votre jeu, vous, les députés inutiles.
Gilles: Hostie que t'es dur...
Stephen: Qu'est-ce que t'as à brailler? Tu vas finir tes jours avec une belle pension à vie.

Gilles: Je sais bien, et j'en suis fier. Mais je voudrais laisser ma marque dans l'histoire du Québec, laisse-moi une chance...
Stephen: Des chances, t'en a eu assez. Ton parti va se faire planter lors des prochaines élections, et ce sera mérité!
Gilles: Mange donc de la marde. Dieu, s.v.p., insuffle un peu d'empathie dans cet homme, tu vois pas qu'il en a grandement besoin!?!
Dieu: Sais-tu quoi Gilles, j'ai juste envie de t'envoyer chier...

Gilles: T'es donc ben rock'n'roll, aujourd'hui, Dieu?
Dieu: Non mais, penses-tu que j'ai rien que ça à faire, écouter tes récriminations?
Gilles: Moi, un si bon catholique. Je vais à la messe à tous les dimanches. Je paye ma dîme, et tout, et tout. Serais-tu aussi sans-coeur, que ce Stephen Harper?
Dieu: Mon tabarnak, je ne te permettrais pas de m'insulter plus longtemps. Harper c'est un dangereux, mais toi et tes amis libéraux permettez que son gouvernement survive. C'est ton ostie de problème... décalisse!

Gilles: Dieu m'a abandonné, Harper veut pas m'aider... je pense que je suis dans la marde.
Guy Vandal: Ça t'apprendra à fourrer le monde, criss de trou-de-cul.
Gilles: Aye, tu vas pas t'en mêler aussi, ça va déjà assez mal de même.
G.V.: Si tu savais comment je suis content...

Gilles: Toi, tu ne nous as jamais compris, ton opinion, la population s'en câlisse.
G.V.: Je sais bien, mais je jouis pareil. Ce n'est pas parce que les carpettes syndicales, oups, les dirigeants syndicaux étaient avec toi en fin de semaine, quand tu as re-quémander plus de "viande" autour du mot nation, que je n'en pense pas moins. L'histoire, si elle est honnête, se rappellera que t'es juste un crosseur de plus, dans le monde politique canadien.
Gilles: Là, j'en ai assez entendu. Je veux m'en aller.
G.V.: Attend, j'ai pas fini...

Gilles: Y'a rien à rajouter.
G.V.: Oui Gilles. Nah, nah, nah, hé, hé... GOOD BYE!

P.S. Je n'apprends rien à personne en disant que je suis tout, sauf politiquement correct. De plus, vous avez dû remarquer que j'utilise de plus en plus le vocabulaire catho dans mes billets.

Au diable les bien-pensants que je me dis. Un juron bien placé, ça économise les pixels!
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Conversation...

J'ai peu de lecteurs, je m'en fous, ceux que j'ai, sont d'une qualité exceptionnelle...

Et là, je voudrais vous dire que je me sens un peu coupable de vous délaisser, sachant que ceux parmi vous qui me lisez depuis longtemps, doivent être déçus de ma fréquence de publication. Il fût un époque où je publiais au moins une fois par jour. Il fût un temps où j'étais un tantinet, beaucoup plus prolifique.

Bon, C'est dit...

Je ne commente presque plus l'actualité, même si c'est aussi, sinon plus, débile que quand j'y mettais beaucoup d'effort. C'est juste de la redondance. Vraiment. Vous n'êtes pas convaincu? Lisez ce texte...

Je continue de suivre quand même l'actualité, ou en tout cas, ce qu'on nous propose. C'est tellement de la marde, que ça me coupe la parole. Je sais que peu importe ce que j'écrirais, ce serait du radotage. Je commence des textes, et je ne les fini pas.

Il y a une vie après l'actualité. Et à Radisson, comme partout où le monde se parle, la vie peut être crissement trippante...

Moi et Valérie, de ce temps là, avons des conversations géniales. Quelle grande dame, et elle n'a que 18 ans. J'ai aussi une nouvelle lectrice, j'espère qu'elle se reconnaitra. Elle m'a dit qu'elle regrettait de ne pas avoir su avant que j'écrivais dans un carnet. C'est un ostie de beau cadeau. Il faut qu'elle le sache, il faut que je vous dise, c'est tellement trippant à entendre!

Y'a mon ami Esperanza qui voudrait que je vous parle de notre ciné-parc. Bon, je ne l'ai pas encore visité, mais oui, c'est toujours le même film, des ours qui tentent de se régaler, dans le dépotoir de la municipalité. Et y'a du monde à Radisson qui aiment tellement les observer, qu'ils appellent ça leur ciné-parc. Le "ciné-parc" est à 30 km de Radisson. Y faut aimer les "petites bêtes", avouez. C'est quand même, 60 km, aller-retour!

Et chez les carnetiers...

Là, je dois avouer que j'en arrache. Depuis que je suis à Radisson, j'en lis moins de 10, régulièrement, je commente toujours les mêmes, moins de cinq. Certains ont arrêté de me lire, à cause de ça. Vous savez quoi? Je m'en calisse.

En fait écrire, c'est me faire plaisir. Tant mieux si vous aimez ça. Quand vous me le dites, c'est bien certain que ça me fait un énorme bien, mais je n'attends rien. Ça doit être pour ça que chaque fois, ça me rends vraiment joyeux. Merci encore, toi là, dans le corridor, oui, oui, la même que j'ai cité plus haut...

Pis ben bon, allez, bonne semaine, comme dirait le riche à lunette...
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Lundi matin...

« C’est peu d’être modeste, il faut avoir encore de quoi pouvoir ne pas l’être. » Voltaire

Je ne sais pas encore tout à fait pourquoi, mais j'aime cette pensée. Ça me fait penser à la fausse modestie.

Allez, bonne semaine, comme dirait l'autre, celui qui a oublié que ce n'était pas lui Dieu...
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mercredi, juin 4

Fais chier, s'tie!

J'ai écrit dans ce billet...

Tous les experts, sans oublier l'homme de la rue, se prononceront. Ce sera le sujet du jour. Et après-demain, il sera oublié, une autre insipidité prendra la relève.

Sauf que, j'avais oublié que l'opposition, au fédéral, étant probablement la pire de toute l'histoire du Canada, ces pions ayant absolument besoin de nous faire oublier qu'ils sont vraiment inutiles, l'historiette ne sera pas oubliée de sitôt. Julie Couillard, c'est leur "cadeau du ciel".

Hier, elle faisait la Une de La Presse, un verre à la main. Belle photo...

Quelle criss de marde. Tabarnak. Ok, elle a eu des fréquentations dans le milieu interlope. Mais elle a déjà fréquenté, aussi, un politicien. Parfois c'est pas loin d'être pareil, et je n'exagère même pas.

Ceci étant dit, quand j'entends les Coderre, Dion, Duceppe et compagnie, pleurnicher contre le gouvernement de Harper, un seul criss de mot me revient en tête, tout le temps, hypocrite(s). Quelle criss de gang d'hypocrites.

Si le gouvernement conservateur gouverne encore, depuis trop longtemps, comme s'il était majoritaire, c'est grâce à ces osties de morons.

Non mais, c'est vrai qu'ils sont vraiment nuls à chier. La semaine dernière, une nouvelle que je considère vraiment importante, n'a pas eu, comme d'habitude, l'espace médiatique qu'elle aurait méritée, l'opposition trouvant Julie plus croustillante...

Pensez-y, le Canada devient, de plus en plus, la propriété de n'importe qui, et bien sûr, grâce au libre-échange, propriété des USA, sauf des Canadiens...

Et ça dérange personne. PERSONNE. Personne étant quelqu'un qui pourrait faire quelque chose.

Ça dérange aucun médias, ça dérange encore moins l'opposition. Comment voulez-vous que le citoyen soit dérangé? On le bourre de toutes sortes de "niaiseries", sauf la réalité.

On a les politiciens qu'on mérite, qu'on nous dit? Pas d'accord. De ce temps-là, on a les politiciens qu'on nous vend, de la pacotille!!!

Ça sert qui?
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mardi, juin 3

Pause musicale!

Un beau matin...

Une belle chanson, chantée, et/ou écrite?

Bravo M. Lavoie!
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