Exit...
Dans mon ex-carnet, je m'étais fixé comme objectif de ne parler le moins possible de ma vie personnelle. Mais là, je ne suis plus M. PITOU...
Ça ne veut pas dire que je ne vais parler que de moi. Je le ferai quand j'estimerai que ce que je veux écrire pourrait servir à quelqu'un... ou m'aider !!!
Je viens d'apprendre que le conseil d'administration pour qui je travaillais m'a congédié. Ils ont regardé les chiffres, ne m'ont posé aucunes questions, et ont envoyé un super bon bonhomme m'annoncer la nouvelle.
Ma première réaction... c'est sauvage en tabarnak.
Oui si on ne regarde que les chiffres de ce début d'année, on ne peut pas dire que ça va bien. Mais je ne suis pas la cause de tous nos problèmes. Ceux qui m'ont congédié n'ont jamais vendu cette loterie de leur vie. C'est plus facile de me montrer la sortie, que de regarder sa propre incompétence.
3 heures plus tard... C'est pas facile à digérer mais je me sens plus léger. Je vais peut-être devoir faire un travail que je déteste pour vivre dans les prochains mois, mais nos bons gouvernements n'ont pas à s'inquiéter. Tant que j'aurai la santé, je vais tenter de m'abstenir de leurs services !!!
Ce qui m'arrive n'est pas nécessairement négatif. Je n'en suis pas à ma première échec ni ce que je considère ma première injustice. Ça remet en question mes projets parce que je n'ai pas pour le moment les moyens de lancer une entreprise, si petite soit-elle.
Dans le fond de moi, je suis convaincu que je ferai un jour ce que j'aime le plus, enseigner la vente, à des jeunes de préférence, et aider des gens à se connaître mieux. Je pense que de se connaître honnêtement pour un être humain, est aussi essentiel que de respirer.
Et ça, je l'aurai appris avec cette campagne de financement. Mes plus beaux succès se nomment Anne-Audrey, Marie-France et Mylène, ma petite "mongole" préférée. Ce n'est pas beaucoup pour plus de deux ans de travail, mais ces filles-là ont maintenant compris que ce n'était pas le patron qui les choisissait mais elles qui choisissent leurs patrons.
Sur le marché de l'emploi, elles savent maintenant ce qu'elles valent. Avec moi elles auront appris à monnayer tout ça et ne surtout pas se laisser abuser, ce qui est beaucoup trop fréquent à mon goût chez les jeunes... inexpérimentés.
La société a besoin de leader, moi je suis capable d'en former. Je dois pas être si mal pris. :-)
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Ça ne veut pas dire que je ne vais parler que de moi. Je le ferai quand j'estimerai que ce que je veux écrire pourrait servir à quelqu'un... ou m'aider !!!
Je viens d'apprendre que le conseil d'administration pour qui je travaillais m'a congédié. Ils ont regardé les chiffres, ne m'ont posé aucunes questions, et ont envoyé un super bon bonhomme m'annoncer la nouvelle.
Ma première réaction... c'est sauvage en tabarnak.
Oui si on ne regarde que les chiffres de ce début d'année, on ne peut pas dire que ça va bien. Mais je ne suis pas la cause de tous nos problèmes. Ceux qui m'ont congédié n'ont jamais vendu cette loterie de leur vie. C'est plus facile de me montrer la sortie, que de regarder sa propre incompétence.
3 heures plus tard... C'est pas facile à digérer mais je me sens plus léger. Je vais peut-être devoir faire un travail que je déteste pour vivre dans les prochains mois, mais nos bons gouvernements n'ont pas à s'inquiéter. Tant que j'aurai la santé, je vais tenter de m'abstenir de leurs services !!!
Ce qui m'arrive n'est pas nécessairement négatif. Je n'en suis pas à ma première échec ni ce que je considère ma première injustice. Ça remet en question mes projets parce que je n'ai pas pour le moment les moyens de lancer une entreprise, si petite soit-elle.
Dans le fond de moi, je suis convaincu que je ferai un jour ce que j'aime le plus, enseigner la vente, à des jeunes de préférence, et aider des gens à se connaître mieux. Je pense que de se connaître honnêtement pour un être humain, est aussi essentiel que de respirer.
Et ça, je l'aurai appris avec cette campagne de financement. Mes plus beaux succès se nomment Anne-Audrey, Marie-France et Mylène, ma petite "mongole" préférée. Ce n'est pas beaucoup pour plus de deux ans de travail, mais ces filles-là ont maintenant compris que ce n'était pas le patron qui les choisissait mais elles qui choisissent leurs patrons.
Sur le marché de l'emploi, elles savent maintenant ce qu'elles valent. Avec moi elles auront appris à monnayer tout ça et ne surtout pas se laisser abuser, ce qui est beaucoup trop fréquent à mon goût chez les jeunes... inexpérimentés.
La société a besoin de leader, moi je suis capable d'en former. Je dois pas être si mal pris. :-)
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