Attention... ce billet est un genre de défoulement.
Si c'est vrai qu'écrire c'est thérapeutique...
J'ai peut-être besoin d'une pause d'écriture. Mes billets de cette semaine sont très ordinaires, je suis comme en panne d'inspiration...
Je suis marabout ce matin et j'hais ça être marabout. Ma vie professionnelle est franchement au neutre. C'est stressant en sacrament. Je sens qu'il va se passer quelque chose, j'ai un téléphone important à faire mardi prochain, mais dans le moment présent je suis cassé comme un clou et ça me fait chier.
En ce moment je n'ai pas le goût commenter rien, je n'ai pas le goût de faire la revue des carnets dans La Ruche, je ne la ferai pas, en fait j'ai juste le goût de sacrer...
Criss de tabarnak, je suis écoeuré de vivre dans la dèche. Hostie que je'en ai mon truck de voir la manipulation médiatique. Voilà les deux "éléments" qui m'écoeure le plus dans le moment présent.
Ce qui m'écoeure aussi, ce sont mes criss de doutes. Vous savez le track ? Je suis là pis ça me fait chier, ça me paralyse un peu trop... C'te criss de track est pourtant un bon signe. Si je passe à travers, y va arriver quelque chose de bien, je le sens.
Pendant que j'écris ce billet j'entend que le Bloc se réunira en fin de semaine à Québec, pendant deux jours, en même temps qu'Harper et sa gang de crosseur. Sont fort en criss au Bloc. Qui va faire les manchettes à Québec en fin de semaine ? Le parti de droite ou celui d'extrème droite ?
Chus tanné des mensonges. Ça me chier d'écouter des nouvelles manipulées. Vous ai-je dis que j'étais écoeuré. Y parait qu'écrire c'est thérapeutique. Je ne sais pas si publier ce genre de billet l'est aussi, mais ce sera mon billet de la fin de semaine.
Je prend une pause. Je serai de retour lundi... probablement.
P.S. Je viens d'entendre Marc Laurendeau, dans sa revue de presse, dire que le PQ versera l'argent reçu de Brault, à la Fondation Mira. J'ai trouvé ça très drôle. D'ailleurs je suis moins marabout qu'au début de ce billet. C'est que je me rend compte que tout ce braillage, c'est un peu de l'apitoiement, même si ce que je vis est stressant. Y'en a des crissement pire que moi !
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J'ai peut-être besoin d'une pause d'écriture. Mes billets de cette semaine sont très ordinaires, je suis comme en panne d'inspiration...
Je suis marabout ce matin et j'hais ça être marabout. Ma vie professionnelle est franchement au neutre. C'est stressant en sacrament. Je sens qu'il va se passer quelque chose, j'ai un téléphone important à faire mardi prochain, mais dans le moment présent je suis cassé comme un clou et ça me fait chier.
En ce moment je n'ai pas le goût commenter rien, je n'ai pas le goût de faire la revue des carnets dans La Ruche, je ne la ferai pas, en fait j'ai juste le goût de sacrer...
Criss de tabarnak, je suis écoeuré de vivre dans la dèche. Hostie que je'en ai mon truck de voir la manipulation médiatique. Voilà les deux "éléments" qui m'écoeure le plus dans le moment présent.
Ce qui m'écoeure aussi, ce sont mes criss de doutes. Vous savez le track ? Je suis là pis ça me fait chier, ça me paralyse un peu trop... C'te criss de track est pourtant un bon signe. Si je passe à travers, y va arriver quelque chose de bien, je le sens.
Pendant que j'écris ce billet j'entend que le Bloc se réunira en fin de semaine à Québec, pendant deux jours, en même temps qu'Harper et sa gang de crosseur. Sont fort en criss au Bloc. Qui va faire les manchettes à Québec en fin de semaine ? Le parti de droite ou celui d'extrème droite ?
Chus tanné des mensonges. Ça me chier d'écouter des nouvelles manipulées. Vous ai-je dis que j'étais écoeuré. Y parait qu'écrire c'est thérapeutique. Je ne sais pas si publier ce genre de billet l'est aussi, mais ce sera mon billet de la fin de semaine.
Je prend une pause. Je serai de retour lundi... probablement.
P.S. Je viens d'entendre Marc Laurendeau, dans sa revue de presse, dire que le PQ versera l'argent reçu de Brault, à la Fondation Mira. J'ai trouvé ça très drôle. D'ailleurs je suis moins marabout qu'au début de ce billet. C'est que je me rend compte que tout ce braillage, c'est un peu de l'apitoiement, même si ce que je vis est stressant. Y'en a des crissement pire que moi !
Publié par Guy Vandal @ 7:25 a.m.
6 commentaire(s):
At 23 juin 2006 à 08 h 54,
Anonyme said…
Bon congé et repose-toi bien ! C'est important de décrocher à l'occasion.
At 23 juin 2006 à 09 h 59,
André Bérard said…
Guy, fais quelque chose : DÉCROCHE! Lâche les infos! Loue un film comme Shreck, va dehors, lâche les infos, prends une marche, lâche les infos, regarde ce qui se passe dans le monde réel pas dans celui que nous présente les Médias, lâche les infos. Suis-je assez clair : lâche les infos, tu te fais programmer par des virus! Une dernière fois : lâche les infos!
;-)
Bon week-end!
AB
At 23 juin 2006 à 10 h 09,
Guy Vandal said…
André, si tu relis mon billet tu remarqueras qu'il n'y a pas que les infos qui me stressent...
At 23 juin 2006 à 10 h 58,
André Bérard said…
Je sais, mais je crois que la surdose que tu t'envoies quotidiennement peut, dans une certaine mesure, contribuer à un certain état négatif qui teinte tout le reste de ton univers.
Ne va surtout pas penser que je fais la morale. Ce n'est qu'une observation tirée du peu de choses que je connais de toi. Je suis peut-être dans le champ! Si tel est les cas, je vais en profiter pour respirer le parfum des fleurs!
;-)
AB
At 23 juin 2006 à 11 h 24,
Anonyme said…
Prends-ça mollo Guy... En fin de semaine, essaie de faire quelque chose que tu n'as pas fait depuis longtemps ou encore que tu n'as jamais fait du tout...
Prends du temps pour toi sinon, tu vas sauter!
Reposes-toi vieux!
At 23 juin 2006 à 16 h 58,
Guy Vandal said…
Je sais, mais je crois que la surdose que tu t'envoies
Surdose ? Oui pour certain, non pour moi. Écrire et lire sont parmi les loisirs que je préfère. Si j'avais la nature plus près de moi, c'est sûr que ça ne serait pas la même chose.
Mais ce n'est pas le cas à Montréal. Ici quand tu sors dehors, tu fumes 10 cigarettes à l'heure. Je sors quand même... ne croyez pas que je suis toujours collé sur l'ordi.
peut, dans une certaine mesure, contribuer à un certain état négatif qui teinte tout le reste de ton univers.
N'oublies pas que je suis un vieux carnetier. J'ai appris à vivre avec le côté négatif des informations depuis longtemps. Au début, ça me déprimait d'aplomb et je me remettais en question. Je me suis parlé. Il faut dire les choses, mais il ne faut pas en faire une déprime permanente pour autant.
Prends du temps pour toi sinon, tu vas sauter!
Mais non Esperanza je ne sauterai pas. C'est juste une journée brune. Elle finira à minuit ce soir...
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