Légèreté carnetière... du dimanche !

Les doigts me démangent, il faut que j'écrive quelque chose...

Au moment ou ce mot est écrit, je ne sais pas quel sera le sujet de ce billet. Je n'ai rien à commenter. Je pourrais vous parler de la coupe du monde de soccer, du PQ, ou du débat des candidats au leadership PLC, mais bof...

Je pourrais vous faire un sermon, c'est dimanche. Sauf que, le curé en moi est tellement défroqué. Savez quoi ? J'ai probablement juste envie de vous dire bonjour...

Bon, c'est vrai. Ce billet est complètement inutile. Mais puisque vous êtes venu faire un petit tour aujourd'hui, je vous dis merci... et bonne journée !

Je ne suis pas rassasié, les doigts me démangent encore. Bon OK, parlons de La Ruche. Je l'aime notre Ruche. Je ne sais pas, je fabule, mais je lui trouve un côté magique. J'aime et j'adhère à tout ce qui a été écrit jusqu'à maintenant. Savez quoi ? J'aime vraiment ce carnet. Savez quoi ? Je rêve tout le temps...

C'est vrai que je suis un éternel rêveur. Quand j'étais jeune on disait de moi que j'étais idéaliste. Rêver et idéaliser, c'est passablement pareil. On pourrait me qualifier de mongol attardé, qu'on aurait pas tort. Savez quoi ? J'aime l'idée d'être un mongol attardé.

J'écoute, en même temps que j'écris, oui oui je peux faire les deux, parfois, j'écoute donc Richard Desjardins à la radio en canne. Je n'ai rien entendu de la chanson, trop concentré par ce texte, mais je suis content de savoir que Richard Desjardins existe.

Bon, ça fera. Les billets décousus n'ont sans doute pas d'avenir sur le net. Pourquoi j'écris ? Pour crier tout simplement ? Probablement !

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