Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

jeudi, février 10

Les profits de Pédalo...

La médiocrité de l'information!

(...) le problème de nos journalistes est simple: ils sont devenus interchangeables. Ils partagent les mêmes compétences, la même approche des événements, utilisent les mêmes sources et posent des questions semblables. En somme, ils sont facilement remplaçables. Pour preuve, certaines entreprises de presse poursuivent leurs activités commerciales sans réel dommage, et ce, malgré des conflits de travail interminables. (Cyberpresse)

Non seulement la poubelle à Péladeau poursuit ses activités commerciales sans réel dommage, mais elle fait plus d'argent depuis le début du conflit. Pas de journalistes à payer, mais le journal est aussi lu qu'avant. À plusieurs endroits ils doivent le donner, mais il est lu... et il vend beaucoup de publicité!

Pour Péladeau, l'information n'est qu'une façon comme une autre de faire du fric. C'est pas la qualité qui prime, mais la quantité d'insipidités, de chiens morts, en fait, toutes cochonneries contenant assez de mots pour remplir sa poubelle. Il vend un journal guère plus édifiant à lire qu'un Publi-Sac, mais bon... qui mange de la marde mes employés, même chose pour mes concitoyens.

Péladeau, c'est un dé-bâtisseur. Il existe, parce que son père est né avant lui. Avec le peu de respect que ce gars-là a pour ses employés, et aussi ses concitoyens, disons le, sans son père, il serait sur le B.S.

Y'a personne qui voudrait travailler avec lui. Parce que les têtes enflées dans la vie, sont rapidement reconnues et jamais appréciées... autrement que par les têteux de boss!
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4 commentaire(s):

  • At 11 février 2011 à 09 h 49, Blogger Zoreilles said…

    C'est ben épouvantable mais c'est ça pareil.

    Je pense pas autrement que toi au sujet de PKP. Mais le fait que le monde continue d'acheter le Journal de Montréal comme si rien n'était, sans aucune considération pour les journalistes en grève depuis tout ce temps, soyons réaliste, ça dit beaucoup sur l'indifférence, le peu de conscience sociale et de solidarité dont font preuve les Québécois dans ce dossier-là comme dans beaucoup d'autres.

    Si on se tenait debout, si on se tenait tout simplement, le Québec serait bien différent de ce qu'il est présentement. C'est plus fort que moi, je ne peux pas baisser les bras par rapport au Québec dans lequel je voudrais vivre. Boycotter le JdeM de tout mon coeur, c'est rien qu'un tout petit premier pas.

     
  • At 11 février 2011 à 09 h 54, Blogger Zoreilles said…

    Tiens, j'en rajoute, je vais écrire quelque chose de cru, c'est mon beau-père qui disait ça et mon beau-père, c'était de la race des hommes fiers en Simonac!

    Il disait : « Si quelqu'un veut te chier su'a tête, lève-toi debouttt, tu vas au moins y donner plusss de mìsère! »

     
  • At 11 février 2011 à 20 h 06, Blogger Barbe blanche said…

    Wow, pour ton beau père, Zoreilles, je sens que je l'aurais beaucoup aimé...
    Bon pour le journal de Montréal, et toute la gammicque à PKP, on peut aussi, boycotter les commerces qui annoncent dns leurs pages et sur leurs ondes, ce serait je crois un pas dans la bonne direction...

     
  • At 12 février 2011 à 22 h 54, Blogger Guy Vandal said…

    Zoreilles: Moi aussi ça me fait chier de voir que les gens lisent encore cette feuille de choux.

    Pis ton beau-père, y'avait ben raison!

    B.B.: Boycotter toute la gammick à Péladeau, c'est ce que je fais. Jamais je n'écoute TVA, LCN, pis jamais je n'achète, ni ne lis, les cochonneries comme 7 Jours, le Lundi, etc.

    C'est juste de l'ostie de marde!!!

     

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