Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

vendredi, mai 19

Poser les bonnes questions...

J'écoute le bulletin de nouvelle de 10:00 am à RDI présentement. La première manchette nous apprend que c'est aujourd'hui qu'on saura si Vincent Lacroix sera mis en faillite...

C'est pour quand la prison ? QUAND ?

C'est ça qu'on veut savoir, tabarnak !

Dans ce carnet, on peut être rose et blasphémer. Un blasphème ça explique en peu de mot ce qu'on veut dire. Et comme les cathos ont lancé une campagne anti-blasphème cette semaine, c'est ma façon de les envoyer chier.

Rose toujours, politiquement correct, jamais !
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3 commentaire(s):

  • At 19 mai 2006 à 11 h 14, Blogger André Bérard said…

    Ben voyons Guy, les médias sont trop occupés à nous casser les oreilles avec le film « le code Da Vinci » pour couvrir les miettes d'actualité comme Vincent Lacroix! Qu'il aille en prison ou pas, ça ne changera rien pour les investisseurs qui ont été floués. Moi, je propose de mettre le talent de Vincent Lacroix au service de ses victimes. Il investit, fait des profits et remet ce qu'il a pris aux intéressés. Ça, ce serait de la justice.

    La prison n'est qu'une vengeance.

    André

     
  • At 19 mai 2006 à 12 h 02, Blogger Guy Vandal said…

    Hmmm...

    Moi personnellement, j'ai confiance à quelqu'un jusqu'à preuve du contraire. Mais quand le contraire m'est prouvé, c'est FINI.

    Autrement dit, je ne donnerais pas 10 sous à Lacroix pour qu'il les investisse à ma place. Ses talents de magouilleur sont supérieurs à ses talents d'investisseur, je pense.

    L'idée de faire travailler Lacroix plutôt que de le mettre en prison n'est pas bête. Un orage, non un tsunami, de coups de pied dans le cul aiderait aussi...

    Mais lui confier de l'argent, je trouve ça très risqué. Si j'avais à décider de confier du fric à ce type, ce serait non automatiquement.

    Sauf que la question est... Quel travail lui permettrait de rembourser les investisseurs floués ?

     
  • At 19 mai 2006 à 13 h 08, Blogger André Bérard said…

    Lui confier sous supervision très serrée, évidemment. Cela va de soi.

    André

     

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