Allez hop, animez-moi cette poubelle...

Les lecteurs du Journal de Montréal auront le plaisir de lire quatre fois par semaine, à compter de mercredi, l'excellent chroniqueur Richard Martineau.

Nous aurons le plaisir de lire un excellent chroniqueur, qu'on nous dit. Évidemment que je ne suis pas de cet avis. Mais ce n'est que mon opinion.

Mettons que le patron de Voir n'est pas content... J'ai fait l'erreur de croire que Richard avait du respect pour Voir et pour ses dirigeants. J'ai même osé penser, à certains moments, qu'il était mon ami.

Ceci étant, les nouveaux patrons de Martineau sont prêts à tout pour "servir" les actionnaires de Quebecor. Jacinthe René, qui a fait la UNE de ce publi-sac vendredi passé, en sait désormais quelque chose...

« On m'avait dit que mes propos seraient accompagnés par d'autres témoignages de comédiens et de comédiennes qui ont été victimes de cela, dit-elle. Je ne pensais vraiment pas me retrouver seule en une. C'est inacceptable. Ils ont utilisé une vieille entrevue pour faire du sensationnalisme à mes dépens. Je trouve cela grave, très grave. Je ne sais pas s'ils n'avaient rien à mettre en une ce jour-là, mais ça ne se fait pas. »

Hier, dans la suite du reportage, le quotidien a toutefois publié le témoignage de Sophie Stanké, qui dit elle aussi avoir été victime de ce type de harcèlement. «Sophie a accepté d'en parler après avoir pris connaissance de la une de vendredi. C'est la preuve qu'ils n'avaient pas d'autres témoignages que le mien», dit Jacynthe René.» (Source)

De temps en temps, le Journal de Montréal fait de l'information. Parfois il la fabrique. Plus souvent qu'autrement, il est aussi insipide que les gratuits distribués dans le métro. C'est un journal de plus en plus "laid", de plus en plus à droite, de plus en plus bourré de publicités.

Mais la majorité des lecteurs de cette feuille de choux ne le savent pas. Ça prendrait un coup d'éclat...

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