Une belle-mère de plus !

Boisclair n'avait pas le choix. Il a fait la seule chose à faire, considérant l'intensité de la remise en question du leadership...

Il a souri durant tout son point de presse. Ça sonnait faux. Je l'ai senti amer. Il dit que cette décision a été mûrement réfléchie. Il se pourrait donc que sa décision était prise avant sa sortie contre Duceppe. Il avait demandé à ses députés ce qu'il n'a pas fait, étaler sur la place publique les chicanes internes.

Est-ce une façon de se venger du chef du Bloc ? Je ne suis pas loin de le penser.

La suite...

On dit que le PQ est ingouvernable. Il le sera toujours tant que ses représentants tiendront un double langage. Le parti doit redevenir ce qu'il était au départ, un parti indépendantiste. Qui dit parti politique dit humains pour le diriger. Et c'est clair que les humains qui dirigent le PQ, sont beaucoup plus intéressés par le pouvoir que par l'indépendance du Québec. Ça dit tout.

Je pense que la seule chance de survie du PQ c'est d'oublier le référendum, mais pas l'indépendance. Ça doit redevenir clair dans l'esprit des gens qu'un vote pour le PQ est un vote pour l'indépendance du Québec, point à la ligne. Mais cette idée n'est pas intéressante pour les affairistes qui grenouillent au PQ.

Eux c'est le pouvoir, et les avantages reliés, qui les intéressent. Et pour le pouvoir ils sont prêts à n'importe quoi, comme mentir au sujet de leurs véritables intentions.

Mais la fin est proche. Il y a de très gros égos au PQ. Des égos tellement gros que complètement déconnectés de la réalité. Ils ne comprennent pas pourquoi ils ont perdu la confiance de la population. Pendant ce temps les gens s'informent...

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