Ne jamais croire tout ce qu'on lit, mais...
Pour se faire une opinion, c'est important d'en consulter plusieurs...
Le général Dallaire, qui avait compris que cette communauté n'était pas disposée à intervenir pour sauver quelques Noirs dans un obscur pays d'Afrique de l'Est, n'a pas jugé bon d'avertir les victimes potentielles. Pire, il a continué à porter l'infâme uniforme de la trahison onusienne jusqu'à la fin de sa mission. Le même béret bleu, les mêmes tenues de commandant. Jamais il n'a songé à troquer cet attirail contre des habits civils, des uniformes de combat ou n'importe quel habit qui exprime son dégoût, sinon sa réserve envers l'ONU. Il n'a jamais pensé à démissionner pour faire un coup d'éclat afin de gêner ses supérieurs ou les nations occidentales, voire de les confronter au pire des massacres.
L'auteur, journaliste d'origine rwandaise, semble connaitre son sujet. En tout cas, il était, lui aussi, sur le terrain...
***
Lundi, je vous ai proposé un texte qui causait de cochons. Il y a une deuxième partie, toute aussi intéressante que la première...
Pourquoi tolérons-nous que les plus nantis se nourrissent du fruit d'une agriculture de très haute qualité alors que le Québécois moyen continue de manger du bacon aux médicaments? Ce n'est pas équitable.
Pourquoi hein ?
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Le général Dallaire, qui avait compris que cette communauté n'était pas disposée à intervenir pour sauver quelques Noirs dans un obscur pays d'Afrique de l'Est, n'a pas jugé bon d'avertir les victimes potentielles. Pire, il a continué à porter l'infâme uniforme de la trahison onusienne jusqu'à la fin de sa mission. Le même béret bleu, les mêmes tenues de commandant. Jamais il n'a songé à troquer cet attirail contre des habits civils, des uniformes de combat ou n'importe quel habit qui exprime son dégoût, sinon sa réserve envers l'ONU. Il n'a jamais pensé à démissionner pour faire un coup d'éclat afin de gêner ses supérieurs ou les nations occidentales, voire de les confronter au pire des massacres.
L'auteur, journaliste d'origine rwandaise, semble connaitre son sujet. En tout cas, il était, lui aussi, sur le terrain...
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Lundi, je vous ai proposé un texte qui causait de cochons. Il y a une deuxième partie, toute aussi intéressante que la première...
Pourquoi tolérons-nous que les plus nantis se nourrissent du fruit d'une agriculture de très haute qualité alors que le Québécois moyen continue de manger du bacon aux médicaments? Ce n'est pas équitable.
Pourquoi hein ?
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