Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

jeudi, septembre 27

Silence, on retourne....

« Écrire c’est aussi ne pas parler. C’est se taire. C’est hurler sans bruit. » Marguerite Duras

Ça fait au moins vingts ans que je ne l'ai pas vu, ça fait plus longtemps encore que je sais qu'il est très talentueux...

JEAN-FRANÇOIS CARON est l'auteur de pièces qui ont fait l'objet de productions au Québec et en France. Citons entre autres « J'écrirai bientôt une pièce sur les nègres…” » (Quat'Sous), « Le scalpel du diable” » (Licorne), « Aux hommes de bonne volonté” » (Quat'Sous, Sirocco Théâtre, France, reprise à Paris), « Saganash” » (Théâtre d'Aujourd'hui et Théâtre du Binôme, France) et « La nature même du continent » (Théâtre d'Aujourd'hui). Il est aussi l'auteur de textes en collaboration dont « Cabaret Neiges Noires” » et, tout récemment, « Manic: L'Œil du Québec” » (Théâtre de Baie-Comeau), qu'il a co-écrit avec Martin Desgagné. Il enseigne l'écriture dramatique à l'école nationale de théâtre et la scénarisation à l'Université du Québec à Chicoutimi.

Nous avons un point en commun, nous sommes tous les deux nés à La Tuque, et nous étions copains, dans le temps...

Le 13 octobre prochain, si les astres sont bien enlignés, j'aurai l'occasion de le rencontrer et d'assister à sa dernière création théâtrale, Laine sans mouton. J'ai hâte. S'il n'y avait qu'une seule pièce de théâtre à laquelle j'aimerais assister, c'en serait une écrite par Jean-François.

Non mais, c'est que je suis complètement inculte...
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2 commentaire(s):

  • At 27 septembre 2007 à 09 h 33, Blogger Zoreilles said…

    Ton titre, Guy, est vraiment... suave! J'aime beaucoup découvrir des auteurs et Jean-François Caron semble en être un plutôt prolifique. Du même coup, j'ai pu lire aussi sur Martin Desgagné et ce qui m'a intéressée beaucoup, c'est qu'ils oeuvrent dans une région comme la Côte Nord, là où la culture couve toujours sous la cendre, émerge et rayonne sans faire de bruit. Il faut absolument qu'on parle de ça.

    Il y a des titres de pièces tellement évocateurs que ça me donnerait le goût de les lire, de les voir... (Je pense à Saganash et à Manic, l'oeil du Québec, entre autres).

    Merci pour cette formidable chronique culturelle. Quand tu le côtoyais, savais-tu qu'il avait autant de talent?

     
  • At 27 septembre 2007 à 11 h 16, Blogger Guy Vandal said…

    Quand tu le côtoyais, savais-tu qu'il avait autant de talent?

    Oui. Il était un genre de "mouton noir" dans notre patelin. Ça dit tout, habituellement...

     

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