Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

lundi, juin 18

D'autres petits mots...

Lire les carnetiers c'est comme un peu déménager...

J'écris déménager parce que j'ai l'impression en vous lisant d'être chez-vous, dans vos affaires. Ça me fait un bien énorme de vous lire. C'est super trippant de pouvoir vous parler et de vous entendre d'aussi près.

Aujourd'hui, je n'ai pas le temps de lire les nouvelles. Ça ne me manque pas du tout. J'écris ce billet parce que j'arrive de chez le vieux Henri. J'ai lu le billet où il nous parle de son père ainsi que les commentaires associés à ce billet.

Henri, t'es vraiment un vieux vrai.
Zoreilles, tu me fais tellement de bien.
Accent Grave, j'aime que tu dises ce que tu penses sans te soucier des conséquences.
Esperanza, je m'ennuie de toi.
André, j'aimerais bien te rencontrer.

Je pourrais continuer longtemps... si j'avais le temps. Parce que les carnetiers... quel monde !
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2 commentaire(s):

  • At 18 juin 2007 à 22 h 07, Blogger André Bérard said…

    Guy, on va sûrement se croiser un jour. C'est écrit.

     
  • At 21 juin 2007 à 08 h 20, Blogger Zoreilles said…

    Je vous le souhaiterais bien, les gars, ça crée une complicité supplémentaire. C'est vrai, hein, Guy?

    Pourtant, géographiquement, vous n'êtes pas loin l'un de l'autre, 1 heure de route, c'est tout.

    C'est curieux comment je fonctionne, moi, on dirait que j'ai toujours besoin de vous situer quand je vous croise, alors, quand je lis André, je pense Ste-Adèle, Guy est à Montréal, Espéranza à St-Ligori, Accent Grave, sur la rive sud, je suis moins précise en ce qui le concerne, mais je l'identifie à la rive sud de Montréal en tout cas. Vieux Henri, je l'imagine exactement où il se trouve, à quelques kilomètres de chez moi.

    D'un autre côté, dans notre monde virtuel, je nous imagine parfois dans un café bistro très animé, avec plein de monde autour, et nous sommes dans notre bulle à nous, il y a des interactions entre l'un et l'autre mais aussi, des fois, on parle tous en même temps. Comme des vieux chums...

     

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