Meeerrrde!
C'est petit Radisson...
On connait tout le monde, y'en a qu'on aime plus que d'autres.
Un drame est survenu hier. Une femme que j'aime très beaucoup a eu un accident de voiture, elle a perdu son petit garçon...
J'ai le goût de pleurer en écrivant ce billet et je sais que beaucoup de Radissonniens seront tristes aujourd'hui, et dans les prochains jours.
Tout l'amour du monde n'y changera rien. Merde.
@
On connait tout le monde, y'en a qu'on aime plus que d'autres.
Un drame est survenu hier. Une femme que j'aime très beaucoup a eu un accident de voiture, elle a perdu son petit garçon...
J'ai le goût de pleurer en écrivant ce billet et je sais que beaucoup de Radissonniens seront tristes aujourd'hui, et dans les prochains jours.
Tout l'amour du monde n'y changera rien. Merde.
Publié par Guy Vandal @ 11:32 a.m.
6 commentaire(s):
At 23 mars 2009 à 12 h 49,
Anonyme said…
Triste événement...
Bon courage à tous.
At 23 mars 2009 à 14 h 19,
Zoreilles said…
Ouf... J'ai même pas de mot...
At 23 mars 2009 à 19 h 39,
André Bérard said…
Y a rien à dire. Bon courage à cette mère, sa famille et à la petite communauté de Radisson.
At 23 mars 2009 à 19 h 44,
Zoreilles said…
Tu sais pas quoi, Guy? Dans nos actualités régionales télévisées de ce soir, (comme quoi nos régions sont tellement voisines que vos nouvelles sont rapportées dans nos médias régionaux) on a rapporté cet accident à 60 km au sud de Radisson. On dit que le petit garçon de 9 ans est décédé mais on ajoute aussi que sa petite soeur de 7 ans est très gravement blessée (on craindrait même toujours pour sa vie). La maman, cette dame que tu connais, serait blessée également. Comment peut-on se relever d'une pareille épreuve?
At 24 mars 2009 à 20 h 39,
Anonyme said…
Tout l'amour du monde, dis-tu, n'y changera rien, et c'est tellement vrai! Rien n'est plus définitif que la mort, et dans une petite communauté, où les liens sont tissés serrés ( qu'il s'agisse de famille, d'amitié, inimitié ou d'amour) c'est encore plus percutant, car impossible d'ignorer la situation.
Chaque personne est unique, c'est vrai aussi à Montréal, mais l'individu étant noyé dans la masse indifférente, un tel accident n'a pas les mêmes effets, sauf pour les trèes proches.
Voir la mort de près nous confronte tellement avec la nôtre, inévitable un jour ou l'autre, et amène tellement de réflexions, de questions sans réponses...
At 25 mars 2009 à 08 h 28,
Guy Vandal said…
À tous: Que dire quand il n'y a rien à dire?
Merci de penser à cette petite famille, tout comme à notre petite communauté.
Zoreilles: J'ai su que la maman avait une clavicule cassée et des côtes renfoncées. La petite est à Ste-Justine et il semblerait qu'elle s'en sortira.
Comment peut-on se relever d'une pareille épreuve? Aucune espèce d'idée. Si la famille revient à Radisson, je me promet d'être là, pour au moins écouter...
Lise: Ouais, beaucoup de réflexions et surtout, beaucoup de questions sans réponses.
Pour le moment, il n'y a que "merde" qui me vient à l'esprit!
Publier un commentaire
<< Accueil