La relève de Denise B.
« Martineau vit intellectuellement au dessus de ses moyens. Un jour, il va faire faillite. » (Dany Laferrière)
Je ne sais pas s'il va faire faillite. Ce que je sais par contre, c'est que Martineau maîtrise l'art de comparer des pommes et des oranges. Parfois ce qu'il écrit n'a carrément pas d'allure, comme ce texte que je viens de lire dans son blogue...
Un extrait: « Il y a quelques mois, par exemple, j'ai assisté au concert d'un groupe rock alternatif qui consacre une bonne partie de son répertoire à la protection de l'environnement et à la critique des multinationales qui polluent notre belle planète. Or, 80 % des gens présents dans la salle fumaient! D'un côté, on gueule contre les méchantes compagnies qui salopent l'air qu'on respire, et de l'autre, on se fout dans la bouche un produit de consommation destiné à nous faire inhaler 4000 agents chimiques. »
J'aimerais ça que Martineau nous dise combien d'agents chimiques nous inhalons quand nous mettons les pieds dehors à Montréal. Il n'y aurait pas que des insignifiances dans son texte.
Ce qu'il écrit parfois est tellement peu pertinent, que je ne suis pas toujours capable de lire jusqu'à la fin. Cette fois-ci j'y suis arrivé. Si vous ne l'avez pas lu, faites-le. Et repensez à ce texte quand vous reverrez Martineau à la télé.
Un genre de polémiste à la Denise Bombardier, mais en plus épais !
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Je ne sais pas s'il va faire faillite. Ce que je sais par contre, c'est que Martineau maîtrise l'art de comparer des pommes et des oranges. Parfois ce qu'il écrit n'a carrément pas d'allure, comme ce texte que je viens de lire dans son blogue...
Un extrait: « Il y a quelques mois, par exemple, j'ai assisté au concert d'un groupe rock alternatif qui consacre une bonne partie de son répertoire à la protection de l'environnement et à la critique des multinationales qui polluent notre belle planète. Or, 80 % des gens présents dans la salle fumaient! D'un côté, on gueule contre les méchantes compagnies qui salopent l'air qu'on respire, et de l'autre, on se fout dans la bouche un produit de consommation destiné à nous faire inhaler 4000 agents chimiques. »
J'aimerais ça que Martineau nous dise combien d'agents chimiques nous inhalons quand nous mettons les pieds dehors à Montréal. Il n'y aurait pas que des insignifiances dans son texte.
Ce qu'il écrit parfois est tellement peu pertinent, que je ne suis pas toujours capable de lire jusqu'à la fin. Cette fois-ci j'y suis arrivé. Si vous ne l'avez pas lu, faites-le. Et repensez à ce texte quand vous reverrez Martineau à la télé.
Un genre de polémiste à la Denise Bombardier, mais en plus épais !
1 commentaire(s):
At 15 mai 2006 à 12 h 30, Guy Vandal said…
Je n'ai jamais lu Laferrière et je ne m'en porte pas plus mal. Je ne peux rien ajouter, je ne le connais pas.
Je lis Martineau pour le critiquer et surtout pas parce que je le trouve intéressant.
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