Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

lundi, octobre 8

Laine sans mouton...

J'en avais parlé dans ce billet...

Le Théâtre Officiel del Farfadet
en coproduction avec Urbi et Orbi présente
en co-diffusion avec Le Groupe de la Veillée

du 1er au 20 octobre 2007 à 20 h

Laine sans mouton

J'ai eu envie de faire une petite recherche, question de savoir si les critiques n'étaient pas trop vitrioliques. Parce que parfois les critiques... parlez-en à Denis Arcand !!!

«C’est une écriture qui a un souffle, une écriture fleuve dans laquelle on sent une sorte d’urgence de dire avec plein d’images qui nous amène dans une poétique de l’absurde. Tout pour me plaire» (Chantal Baril, joue le rôle de la Première dame dans cette pièce)

Salut Jean-François. Hé hé, quel beau compliment. C'est drôle, je te reconnais...

Or, si l'auteur tente ici de troquer la langue volontiers poétique de ses oeuvres précédentes pour le ton plus franc qu'exige la comédie, le résultat ne convainc pas totalement. D'autant que Martin Desgagné propose une mise en scène peu subtile de son univers comique. Mais pouvait-il en être autrement? (Le Devoir)

Le texte est barré. Bon. C'est de bon ton, au Devoir, de critiquer, pour critiquer. Si j'étais toi, je ne m'en ferais pas avec ça. Ils comprendront, peut-être, dans 20 ans. Ce ne sera pas la première fois...

D'une générosité et d'une rigueur exemplaires, j'espère que les pièces de Jean-François Caron conquièront un nouveau public car il a beaucoup à dire. (Alain Fortaich)

Lui, il te connait. Moi aussi, et je sais ce que tu vaux. C'est pas le Devoir qui me dira quoi penser...

"Si je m'assois pour écrire une pièce, j'essaye de trouver une manière de m'étonner, de m'inventer le théâtre, lance d'emblée Caron. Il est difficile, alors, de se reposer sur des méthodes éprouvées."

Jean-François Caron est un "défricheur". Qu'on se le dise...

Une formidable critique du système médiatico-libéral. On est en empathie avec les attributs des nouveaux militants de l’action directe : la jeunesse de Rowntree, le courage de Lise, la folie de Blaise. Dans un style moins âpre et plus burlesque que ses précédentes pièces, comportant des brèches dans lesquelles les langages télévisuel et politique sont retournés comme des gants, Jean-François Caron donne, avec Laine sans mouton, une pièce d’une extrême lucidité et d’une très grande drôlerie sur la tragédie moderne de notre monde : son assujettissement au monétaire. (Théatre T.J.P.)

Oups... là, c'est pas rien. Cette critique est parue sur le site du Théatre Jeune Publique. Jeune ? Ouais, c'est eux l'avenir...

Après 4 X 4 de François Archambault, Yvan Bienvenue, Nathalie Boisvert et Emmanuelle Roy, le TOF continue de remettre en question les règles habituelles de création par le biais d’une fable à la fois absurde et réaliste… Du nivellement par le haut au service de la comédie! (Carte Prem1ères)

Dans le programme de la pièce, on parle d'un « nivellement par le haut ». C'est précisément ça, le théâtre de Jean-François Caron, un regard corrosif et pétillant, qui ne tombe jamais dans la facilité. (Radio-Canada)

Non mais, tsé, le Devoir...

J'espère vraiment pouvoir assister à cette pièce samedi prochain...
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