Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

mercredi, janvier 14

Entrevue gras du bide

Aujourd'hui, un champion de la bonne forme physique, et relativement imposant personnage, a décidé de se laisser interviewer.

G.V.: Bonjour docteur Barrette, vous allez bien?
Docteur Barrette: Je vais bien mais je n'ai rien décidé du tout. Il ne s'agit ici que d'un autre de tes délires psychotiques.

G.V.: Prenez pas ça comme ça monsieur le sinistre, oups, ministre, c'est juste un mauvais moment à passer. Est-ce vrai, sinistre personnage, que vous êtes très porté sur la bonne forme physique?
Docteur Barrette: Tout à fait. Je fais au moins 40 kilomètres de vélo et 10 kilomètres de course à pied tous les jours et ce 365 jours par année.

G.V.: Wow. Bravo. C'est sans doute pour ça que vous paraissez si bien dans votre peau. Dites-moi, est-ce que vous surveillez votre alimentation aussi religieusement que votre bonne forme physique?
Docteur Barrette: Bien entendu. Je ne prend jamais moins que 25 repas par jour, tous plus équilibrés les uns que les autres.

G.V.: Ce qui veut dire?
Docteur Barrette: Un parfait mélange de chips, fromage en crotte, Big Mac, pepsi, crème glacée et yogourt léger. C'est ce qui me donne un si beau teint... et cet air grognon.

G.V.: Avez-vous commencé à dépenser votre prime de départ que vous a généreusement octroyé la Fédération des médecins spécialistes du Québec?
Docteur Barrette: Oui. Je me suis acheté quelques paires de soulier de course que je n'utiliserai que lors du discours du budget, et je prévois utiliser le reste de ma prime pour garnir mon garde-manger. En cette période d'austérité, on est jamais assez prévoyant.

G.V.: Justement, parlant d'austérité, la majorité de la population ne semble pas du tout d'accord avec les mesures que prend votre gouvernement. Vous en pensez quoi?
Docteur Barrette: Mon gouvernement se fout complètement de la population. Nous leurs avons menti pendant la campagne électorale, ils nous ont cru... qu'ils payent maintenant.

G.V.: Apparemment que vous avez trouvé une solution pour rendre les médecins plus efficaces?
Docteur Barrette: En effet. Au lieu de ne rencontrer qu'un patient à la fois, pourquoi ils n'en rencontreraient pas dix? S'il faut agrandir leurs bureaux pour que mon idée se réalise, je suis prêt à débloquer les fonds nécessaires.

G.V.: Oui mais, dix patients qui n'ont pas la même maladie, ça va pas être facile ni pour le médecin, ni pour les patients?
Docteur Barrette: Quelqu'un quelque part devra arrêter de croire que la vie est un jardin de roses. Ouf que je perle bien.

G.V.: Êtes-vous bien certain que vous avez là une bonne idée?
Docteur Barrette: Pas du tout mais, il faut que la population ait l'impression que je fais quelque chose pour mériter mon salaire... et ma limousine!

G.V.: À part de nous avoir fait chier à la FMSQ, vous avez tenté votre chance à l'ADQ, oups la CAQ. Vous avez rapidement viré votre capot. Vous y allez à l'odeur?
Docteur Barrette: Tu marques un point le blogueur, François commençait à sentir le réchauffé, tandis que Philippe sent une merde que je reconnais... l'opportunisme.

G.V.: Certains disent de vous que vous êtes un grossier personnage. Vous êtes d'accord?
Docteur Barrette: Bien sûr que je suis d'accord. Je ne suis pas seulement grossier, je suis aussi imbu de moi-même. Ce sont là des qualités requises pour faire partie d'un gouvernement de couillons.

G.V.: En terminant monsieur le sinistre, qu'aimeriez-vous que le peuple retienne de votre passage au ministère de la santé?
Docteur Barrette: Entre toi pis moi le blogueur, le peuple y peut bien manger de la marde.

G.V.: Monsieur le ministre, je trouve que vous êtes très irrespectueux pour ces pauvres gens qui paient votre salaire.
Docteur Barrette: Je ne suis pas irrespectueux, je suis grossier. Qu'on se le dise!
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vendredi, janvier 2

Comme il se doit...

Mes bons vœux pour la nouvelle année...

Jean-François Lisée: Un aller simple pour une île que personne ne connait.

Bernard Drainville: Que Lisée l'amène avec lui.

PKP: Qu'on ne parle que de son côté givré.

Pauline Marois: Un siège au Club des ex.

Stephen Harper: Une retraite OPC.

Justin Trudeau: Des journalistes à potins pour le "couvrir", durant la prochaine campagne électorale.

Philippe Couillard: Passer une journée ou deux, sur 365, sans devoir faire la marionnette.

Gaétan Barrette: Un coussin dégonflable.

Yves Bolduc: Lire autre chose que des Snoopy.

Denis Coderre: Être éternellement reconnaissant envers le côté insipide des médias sociaux.

Régis Labeaume: Devenir le bonhomme carnaval.

Bloc québécois: Commencer tout de suite à se remettre du prochain désastre.

Les journalistes: N'arrêtez pas de vous prendre au sérieux, vous pourriez vous mettre à douter.

Simon Durivage: Que la maquilleuse continue de faire des miracles.

Richard Martineau: Conserver son titre de "Plus imbécile chroniqueur québécois".

André Pratte: Un séjour au domaine Sagard, propriété des Desmarais, au moins une fois par mois. Il le mérite tellement.

Éric Salvail: Animer une émission encore plus stupide que "Ce soir tout est permis".

Julie Snyder: Une téléréalité où elle serait la "vedette", en tant que première dame du Québec.

Véronique Cloutier: La Une de tous les magazines à PKP pour cette année... et la page centrale de Playboy quand elle aura 80 ans.

Canadien de Montréal: Dire merci à tous les "journaleux" qui ne savent plus quoi dire à la télé, mais qui le dise longtemps.
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