Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

mardi, mars 27

Mission commandée?

Le Journal de Montréal est-il en mission commandée?

La question mérite d'être posée!

Dans le conflit opposant les étudiants et le gouvernement, je penche du côté des étudiants. L'éducation pourrait être un excellent investissement pour l'avenir de tous, mais il semblerait qu'il faudrait qu'elle ne serve que la minorité dominante.

Ceci étant dit, dans ce conflit, le Journal de Montréal sert qui? La minorité dominante? Ou l'information?

Si vous avez opté pour la première hypothèse, vous n'êtes peut-être pas loin de la réalité!

Il y a pas longtemps, la première page de la poubelle à Péladeau m'a vraiment fait chier. J'ai passé près d'en parler. On voyait d'un côté des étudiants en grève, et de l'autre, d'autres qui se prélassaient en Floride, ou ailleurs, durant la semaine de relâche. Quelqu'un qui ne prend pas la peine de lire le texte "explicatif", comprend tout de suite que les étudiants font la grève, mais qu'ils ont les moyens de se payer des p'tites douceurs.

Sauf que...

Quand on lit le texte, on apprend que, grève ou pas, c'est tous les ans pareil, le nombre de "vacanciers" n'a pas varié cette année, y,a des étudiants qui ont les moyens (ou leurs papas?) de se payer une belle semaine de relâche. Que venait faire cette fausse vraie information dans la première page de la poubelle, sinon, influencer la majorité qui ne prend pas le temps de lire?

Ce n'est pas parce que Martineau a vu cinq étudiants boire de la sangria sur une terrasse à Outremont... que tous les étudiants ont les moyens de se payer une sangria sur une terrasse... à Outremont!

Pis là, vendredi passé, quand on voit ça dans l'entreprise de PKP, on se demande si les "vedettes" qui sévissent dans cette feuille de choux ont une conscience?!?

La première page. 200 000 manifestants. Et un ostie de sondage qui dit que l'appui aux étudiants est en baisse dans la population.

Ceux qui choisissent ce qui fera la UNE dans la poubelle auraient voulu minimiser le fait qu'il y avait tout près de 200 000 manifestants, qu'ils ne se seraient pas pris autrement. 200 000 manifestants, ce n'est quand même pas anodin. Ce n'est pas arrivé souvent au Québec, me semble.

Je sais depuis longtemps que la poubelle de Péladeau est un journal de merde. Il le prouve quasiment tous les jours. Dans le fond, cette cochonnerie là n'est pas un journal, c'est une machine à vendre de la pub, tout en manipulant la population. C'est vrai que c'est le journal le plus lu, mais ce n'est pas pour sa qualité. C'est juste qu'il est partout, même à Matagami(snif), ou bien qu'il est donné!

Il faut le dire que ce journal manipule l'opinion publique. Manipule dangereusement l'opinion publique.

Il faudrait même le répéter, répéter, répéter... à ceux qui sont manipulés pis qui ne le savent pas!
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lundi, mars 26

Réveil brutal



C'est sous la torture que je publie ces photos.

Il faut dire que madame a des goûts sexuels un peu dérangés. Depuis son passage la semaine dernière, je n'ai plus jamais retrouvé mon concombre anglais, frais, ferme, tout récemment acheté à l'épicerie du... ouin, l'épicerie là.

Je m'interroge, c'est elle... ou la chatte!!!

M.H. a beaucoup d'imagination. Un simple panier de fruits décoratifs... et la voilà partie.

Pis moi ben, je dois subir...

Trêve de plaisanterie, M.H., c'est ma docteure tendresse. Comme dans la chanson. Y,en a pas beaucoup des comme elle.

Tellement pas beaucoup!
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mercredi, mars 14

Sacré Garnotte

Vraiment...

Sacré Garnotte!
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lundi, mars 12

Le rond de cuir a dit

Quand le gras a la couenne dure, c'est dur de couper dedans!

Parole de ministre...

Un contribuable qui veut obtenir un service public doit accepter de payer de sa poche une partie de la facture, selon le ministre des Finances, Raymond Bachand.

Ceci étant dit...

Lors d'une entrevue à La Presse Canadienne, qui aura duré près d'une heure et demie dans ses somptueux bureaux de la rue Saint-Louis, dans le Vieux-Québec(...)

(Source)

Dans ses somptueux bureaux... le ministre est inspiré. Sauf que, le Québécois a-t-il le droit d'être écoeuré de payer pour des somptueux bureaux? Parce qu'il paye pour des milliers de somptueux bureaux, pas juste celui du ministre. Si tout ce monde-là étaient au minimum compétent, utile, leurs somptueux bureaux me dérangeraient moins.

J'aimerais ça qu'un ministre me dise; On va commencer par faire le ménage dans la fonction publique, on va arrêter de gaspiller. Pis après, s'il y a lieu, on vous demandera de fouiller dans votre poche.

Je rêve en couleur.

On est très loin de là, mais peut-être qu'il faut commencer par le vouloir... et recommencer à se mêler de politique!
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jeudi, mars 8

Bonne journée mesdames

Les femmes fêtaient leur journée hier au Motel Matagami...

Je travaillais, chanceux que je suis.

Elles avaient préparées un mini spectacle très intéressant. Elle ont parlé des luttes qu'elles ont dû mener à travers le temps pour qu'on les reconnaisse comme des personnes à part entière.

J'ai écouté du mieux que j'ai pu et je n'en reviens pas. Qu'elles aient dû se battre pour des droits aussi élémentaire que le droit de vote, le droit de disposer de leurs corps comme elles l'entendent, le droit de n'être pas qu'une machine à baiser, ça dépasse mon entendement.

Vive les femmes.

Je rêve peut-être mais, je me dis souvent que ce serait merveilleux de n'être gouverné que par des femmes. Je ne veux pas téter personne ici. Je me dis juste que ça n'a jamais été essayé... pis que ça pourrait pas être pire.

Pis ben, un beau texte à lire sur Cyberpresse: Tu es choyée
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samedi, mars 3

Nouvelle vie




Je suis maintenant installé dans ma nouvelle demeure...

C'est assez fantastique.

Non mais, vraiment fantastique.

J'ai hâte de finir de travailler pour me retrouver CHEZ NOUS.

Ma toutoune qui devient de plus en plus jolie capote un peu, mais elle se replace tranquillement.

Je ne peux pas encore publier de photo car mon I-Phone refuse de collaborer. J'imagine que je vais trouver le truc, incessamment. MàJ: Euréka, j'ai trouvé!

Je reçois Karine et Martin, nouveaux habitants de Rouyn, pour la fin de semaine. On s'est bricolé un bon souper, c'était très agréable.

Merci de me visiter encore, malgré tout.
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