Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

vendredi, juillet 31

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Vaut mieux en profiter, quand la chance passe...

Merci M. Lagacé, grâce à vous j'ai de nouveaux lecteurs, je vais essayer d'en prendre bien soin.

Je vais commencer par leur faire un petit cadeau, je vais leur parler du tout nouveau portail indépendant d'information locale et régionale qu'est Webdo.ca.

Ce portail a de grandes ambitions, -devenir le portail de TOUTES les régions du Québec-. C'est Zoreilles qui a écrit ça dans les commentaires, la même qui a signée, et signera des chroniques, avec son vrai nom, Francine Turbide, dans ledit portail. Je l'ai rencontré une fois, je la lis depuis ses débuts dans son carnet, elle est une auteure extraordinaire, je n'exagère aucunement. On l'adore, nous sommes plusieurs si je me fie aux commentaires laissés dans son carnet... et nous ne sommes pas "dangereux".

André Bérard, l'instigateur du projet, est un journaliste véritablement chevronné. Un vrai. Grâce à lui, en 2007, le directeur général, et le maire, de la ville de Ste-Adèle ont été obligés de démissionner. Son travail de journaliste m'avait tellement impressionné à l'époque, que j'avais mis beaucoup de temps, dans le carnet que vous lisez présentement, à faire la rétrospective de ce qu'il avait accompli à Ste-Adèle, cette année-là. 1, 2, 3.

J'ai écrit dans mon épilogue que: Monsieur André Bérard n'est pas seulement le Carnetier de l'année 2007, mais aussi le Journaliste de l'année 2007. Je le pense encore. Je ne ne sais pas s'il a reçu le prix, il l'aurait vraiment mérité. Et c'est lui l'instigateur de ce nouveau portail. C'est bien certain que c'est pas tout de suite que les MT vont en parler, il dérange. C'est qu'il est un vrai journaliste, comme il ne s'en fait plus, malheureusement.

Et pis en plus, dans Webdo.ca, y'a Pierre Lafontaine, un type totalement intègre, que je connais personnellement depuis plus de trente ans, qui y sévit aussi. Dans ses deux premières chroniques, il dénonce, avec raison, que l'internet à haute vitesse ne soit pas accessible partout au Québec. Voyez, ou plutôt, lisez...

On crie aux dangers inhérents à la dévitalisation des milieux, à l’exode des régions et au manque d’accessibilité aux services pendant qu’on assiste à la naissance de deux entités : les inforiches et les infopauvres, c’est à dire, ceux qui ont accès à la haute vitesse pour s’informer, travailler, apprendre, accéder aux services bancaires ou gouvernementaux et… les autres.

Merci M. Lagacé, vous me permettez de parler de ces gens-là. Des gens de cœur, des gens qui connaissent leur coin de pays, des gens qui aiment leur coin de pays.

Eux, ils savent de quoi ils parlent!

Fin de publicité.
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jeudi, juillet 30

Lettre à une amie

Chère Zoreilles: Je comprend ta tristesse.

Si ça peut te consoler, les anonymes qui sont venus "chier" ici, représentent un très, très, très faible pourcentage de la manne que Lagacé a amené, en pointant vers mon carnet.

Ce pays à faire, moi j'y crois encore. Je sais que je suis naïf mais, quand je vois des initiatives comme celle de notre ami André Bérard, Webdo.ca, portail indépendant d'information locale et régionale, ça maintient ma "chandelle" d'espoir allumée.

Je rêve de voir des Webdo.ca dans toutes les régions du Québec. Des portails où les gens pourront dire, échanger, communiquer, librement, à condition d'avoir des couilles pour signer leurs textes.

Les MT ignorent complètement ce journal virtuel présentement, comme ils l'ont fait avec les blogues au début, avant de finir par les "envahir".

C'est bien certain qu'ils n'en parleront pas du Webdo de André, ceux qui y écrivent sont des penseurs libres!

Sur ce, je te souhaite une bien belle journée.
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La mort vous va si bien

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mercredi, juillet 29

Changement de sujet













À Radisson, les libellules sont nos amies, le temps aussi.
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mardi, juillet 28

Par la bouche de mon clavier

Suite à la lecture du deuxième texte négatif sur Radisson, qu'a écrit aujourd'hui Patof Lagaceur sur Cyberpresse, j'ai oublié d'être zen et j'ai envoyé ce courriel.

Bonsoir,

Je ne sais pas qui recevra ce courriel, j'aimerais que ce soit le patron de Patrick Lagacé.

Votre chroniqueur a écrit un article "épouvantable" la semaine dernière au sujet de la petite ville de Radisson, il en remet aujourd'hui dans son blogue, et vous laissez faire ça?

Il est venu à Radisson, a interrogé un animateur de radio frustré, a carrément inventé une "Germaine", j'ai parlé à l'animateur de radio aujourd'hui et il me l'a confirmé, et avec "ça", il fait de l'information pour votre journal et votre site internet. Et vous tolérez ça?

Non mais c'est quoi?

Vous le payez pour qu'il raconte n'importe quoi?

Sachez qu'il a véritablement insulté la majorité des habitants de notre petite communauté. Certains n'ont pas son "érudition" mais, je comprend leurs réactions car ce qu'a écrit votre scribouilleur est vraiment insultant pour eux, ceux qui habitent ici depuis longtemps, tout comme les nouveaux qui viennent d'arriver et qui s'y plaisent beaucoup.

C'est quoi La Presse maintenant? Vous avez besoin de publicité? Vous êtes prêts à laisser vos journalistes "chier" n'importe quoi pour en avoir?

Il y a peut-être quelque chose que je n'ai pas compris mais, la majorité des citoyens, tous très respectables, de notre petite ville mériteraient des excuses de votre part, et de votre journaliste.

On les attend, mais on ne rêve pas en couleur.
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lundi, juillet 27

Le soleil se lève au nord












Une portion du paradis.

Ça faisait longtemps qu'il m'invitait à son "campe", ça n'adonnait jamais...

Merci Pierre, quelle belle journée j'ai passé!

Une seule phrase me vient à l'esprit de cette journée paradisiaque: Quand la nature sort son pinceau.
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jeudi, juillet 23

Radisson, si sinistre? Vraiment?(2)

Je ne m'acharnerai pas.

Je n'ai pas de temps à perdre avec une pâle copie des Arthur, Fillion, Prouxl, Martineau, l'épais qui s'est fait congédié au Saguenay, tout comme l'autre criss de mongol, congédié aussi, qui sévissait à la radio, en Abitibi.

Je dois remercier les trois "auteurs", "Germaine", Lagacé et Maltais, de cette autre "chiasserie" publiée par mon scribe préféré. Ils m'ont redonné le goût de vivre à Radisson. Si Radisson est un tremplin pour moi, tant mieux. Y'a absolument rien de négatif à ça, bien au contraire.

En attendant, on entend ça très souvent à Radisson, "criss qu'on est ben icitte". Je le constate, et si je déménage, ce sera pour mieux. Pas un endroit qui, entre autre, pollue le cerveau des pseudos-journalistes.

Je ne m'acharnerai pas mais, il faut absolument que vous lisiez la réponse d'une résidente, qui "fêtera" en octobre, sa deuxième année dans la "prison", au torchon que La Presse a publiée, sous la plume d'un scribe qui se prend, depuis pas mal longtemps, pour un journaliste.

C'est Marie-Hélène qui l'a écrit, que tout le monde connait à Radisson, que vous connaissez aussi, si vous êtes un "fidèle" lecteur, avec ses tripes.

Marie-Hélène, elle est beaucoup plus zen que moi.

N.B. J'ai mis en caractère gras ce que je ce que je trouvais particulièrement pertinent.
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M. Lagacé,:

Premièrement, je vous spécifie que si vous voulez mon "pedigree" vous n’avez qu’à vous adresser à Pat Maltais. Assurément, il doit être beaucoup plus au courant que moi. Et surtout plus intéressant à discuter. Car à vos yeux, ils semble être une source indéniable d’informations justes en ce qui concerne la population et la vie de Radisson.

Secondement;

Vous attaquez Ti-Guy sur le nombre de commentaires qui s’y trouvent. Oui c’est vrai, y’en a pas beaucoup, mais sachez, cher monsieur, que ceux qui laissent, ici, des commentaires sont tous très précieux, car ce sont des personnes réellement intéressé à échanger, à découvrir, à vivre avec lui une histoire particulière. Le nombre n’est pas très important mais la qualité est de mise. De plus, Ti Guy est assez humble pour subir cette “humiliation”. Alors donc, cette attaque est assez primaire.

Je ne vous cherche aucunement pas, même si cela peut sonner ainsi . Seulement que je trouve très décevant, de la part d’un journaliste, venu découvrir une ville; un village et puis la décrire par un article relatant les dires très incertains, et surtout très arrêtés d’une ou deux personnes frustrées dans le village. Je crois que vous ne faîtes pas honneur à votre profession car tout le monde est capable d’écrire de telle chose. Je suis d’accord pour que vous exprimiez votre opinion, car c’est ce que vous faîtes (?!), mais pour ce faire, il faudrait au moins vous en forger une, en demeurant, au minimun, 1 ou 2 semaines à Radisson, non?

Et encore mieux, si vous décidez de revenir je vous propose de vous montrer les bas fonds de Radisson....hé!... non plutôt de vous montrer les beautés de Radisson.

Oublions les centres d’achats, le bruit.

Laissons place à une entraide que je n’ai jamais constaté ailleurs, une tranquillité, une nature merveilleuse, pour qui sait la regarder et en profiter. Du chialage, et du potinage, y’en a dans toutes les villes.

Sincèrement, êtes vous vraiment fier de votre article, et je parle qu’en mon nom (en sachant que vous avez blessé quelques personnes tout de même- et/ou fâché les gens du village?) Mais bon, ça se peut que cela vous rende effectivement fier, ça ne me donne pas grand chose d'en rajouter.

Ceci étant, j’adore ma ville, j’ai travaillé pour être où je suis et je ne me pogne pas le beigne avec mes “belles conditions nordiques”. Ayant un diplôme en main, oui je pourrais travailler ailleurs et être aisée. Et non, je ne me suis pas sauvée de ma vie avant Radisson. Et je ne suis pas la seule.

Et je me permettrais même un conseil à l’endroit des gens ouverts à de nouvelle expériences; venez vous ressourcez ici tout simplement. Vous allez aimer ou pas, c’est tout et pas plus compliqué.

Aucune comparaison à faire avec la “grande” ville, mettons.

Quant à Pat, je trouve très décevante son attitude. Se permettre si ouvertement de dénigrer et discréditer ouvertement une ville qui lui sert, ou servira de tremplin, c’est une attitude vraiment égoïste de sa part. En ne sachant toutefois pas s‘il croyait que ses dires allaient être si minutieusement reportés.

Franche camaraderie, ou règlement de compte? Je me pose sérieusement la question.

En tout cas Pat si t’aimes pas ça, ici, et bien va où tu seras bien, ce sera mieux pour toi et du coup, mieux pour nous. Car ton attitude n’est vraiment pas la bienvenue ici. Et si il n'y’ a que la job qui te retiens, je dis, et bien, pauv’toi .

Si tes yeux brilleraient un peu, ne soit pas inquiet, tu trouverais quelqu’une pour t’aimer.

Bref,

Radisson on aime ou on aime pas, c’est tout! Mais ça demeure très personnel.

P.S. Ti-Guy, je serai courte avec toi. Je t’aime et je respectes ton opinion et ton engouement , mais tente de ne pas tomber dans une éternelle dispute qui mène à rien, à moins que tu y prennes vraiment plaisir. C’est correct mais bon, tu sais y’a toujours les arbres, y parlent pas, mais s'tie qui sont beaux. : )

Et tu sais, dans l’fond, nous on sait ce que l’on voit et ce que l’on vit tous les jours. Et si M. Lagacé et Pat font une mauvais publicité pour la ville, tu sais quoi, ça me dérange pas trop . Car je me dis, ça éloignera des cons... qui finalement ne viendront pas, car ils croiront ce qu’ils n’ont même pas vu.

La seule chose que j’aimerais que les gens se rappellent, c’est que Radisson est une très belle ville. Non elle n’est pas faite pour tous les gens, mais y’a des gens qui se plaisent vraiment ici.

Marie-Hélène

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mercredi, juillet 22

Radisson, si sinistre? Vraiment?

Je savais que Patrick Lagacé viendrait à Radisson, j'attendais son texte.

Je me doutais que ledit texte(1) serait pourri, connaissant le personnage, j'avais bien anticipé.

On peut lire sur son blogue que; Patrick Lagacé aime le journalisme : « Cette profession permet de vivre des aventures et d'être payé pour le faire », dit-il.

Sauf que journaliste, Lagacé ne l'aura pas été quand il est passé ici. Les gens de Radisson en ont parlé beaucoup aujourd'hui, certains étaient très fâchés... avec raison. Pour appuyer ses propos, il cite un animateur de radio, frustré, et une certaine Germaine, qui existe probablement. Mais. c'est là où le bât blesse, les habitants ici n'ont pas tous envie de crisser leur camp, comme le prétend ce scribe.

Je pense à la famille Pelletier qui sont ici depuis plus de trente ans, je pense à St-Lau et Jobin, qui adorent la place. Je pense à Jessica, 18 ans, et son amoureux, qui viennent tout juste de s'acheter une maison, Andrée, ma gérante, qui est ici depuis plus de 20 ans. Il y a plein de gens ici qui ont quittés les grandes villes, parce qu'ils étaient écœurés de la civilisation. Mais ceux-là, Lagacé a omis de les interroger. Et pourtant...

Lagacé écrit des stupidités dès le début de son texte. Des stupidités navrantes comme; On dit que c'est le village blanc le plus au nord du territoire québécois. Et je vous dis que c'est le plus sinistre.

Ben voyons donc le plus sinistre. A-t-il visité tous les villages québécois pour faire une affirmation aussi grave? Pas du tout, bien entendu. Mais Lagacé c'est Lagacé. Et comme il se trouve extrêmement brillant, ben, il dit des conneries et il ne s'en rend pas compte.

Le hic, et on s'en rend compte assez vite, c'est que personne ne veut être ici. Enfin, personne ne souhaite vraiment être ici. Tout le monde fait son temps, comme en prison. En attendant de sacrer son camp ailleurs...

Quelle fausseté. La majorité aime vivre à Radisson, mais le scribe ne les a pas interrogé. C'est pas du journalisme ça, c'est de la marde, rien de moins.

On vient travailler à Radisson. Sinon, il n'y a rien.

Ben oui le con. Y'a pas de centre d'achat, pas de cinéma, pas de Wall Marde, pas de McDo... pas de pollution, pas de bouchon de circulation, pas de gang de rue. Ici on est une grande famille. Tout le monde se connait. Oui y'a du memérage, mais c'est comme ça dans tous les villages.

Tu travailles. Deux jobs plutôt qu'un, bien souvent...

Où il a été cherché ça? Juste dans sa tête, où dans celle de l'animateur de radio frustré, mais c'est loin d'être le cas. La plupart arrive à très bien vivre ici, avec un seul job.

Tenez, prenez Germaine. Ce n'est pas son vrai nom. Mais si je vous donne son vrai nom, elle va se mettre dans la merde, professionnellement.

Germaine, si elle existe, est une exception. Et oui, y'en a qui sont ici juste pour le cash. Mais, on ne fait pas du journalisme avec des exceptions. C'est minable, ça manque de rigueur et c'est très peu professionnel. Il manque, dans son texte, le point de vue de ceux qui adorent ça être ici. Quand ça fait plus de trente ans que tu habites à un endroit, c'est sûrement pas juste pour le cash.

En parlant de ceux qui travaillent pour Hydro-Québec: Vous ne les verrez pas errer en ville. Pas souvent, en tout cas. Et ça irrite les gens de Radisson, qui entretiennent avec Hydro la proverbiale relation mêlée d'amour (beaucoup aimeraient y travailler) et de haine (beaucoup envient et méprisent les travailleurs qui ne se mêlent pas à la population).

Ben voyons donc. Oui y'a des travailleurs d'Hydro-Québec qui font vraiment chier, mais ce n'est pas la majorité. On en voit même "errer" en ville, contrairement à ce que le scribe prétend, certains s'amusant très ferme. Tu ne peux pas faire un texte sur Radisson en y restant moins d'une journée. Lagacé l'a fait, ses patrons l'ont payé, mais ils n'en ont pas eu pour leur argent. Ils ont eu un citadin qui pense que Montréal est le nombril du monde, pas un journaliste.

S'il avait le choix, Patrice Maltais serait animateur à CHOI, pas à CIAU.

Monsieur Maltais, vous aimez pas ça Radisson? Décalissez. Et je pèse mes mots.

«Il y a de l'argent à faire si t'es logé et nourri. C'est pas mon cas. Tu viens ici pour décoller dans la vie», philosophe-t-il, assis devant moi au seul restaurant de Radisson.

Sacré philosophe. Lagacé a participé à son émission de radio... et puis a probablement bouffé avec lui au seul(sic) restaurant de Radisson. Et c'est ce frustré qui lui a inspiré son texte. Je répète que si Radisson ne vous plais pas monsieur Maltais, y'a personne qui vous oblige à y vivre.

Patrice ne pêche pas, ne chasse pas. Reste le travail. Et le travail... Il est fasciné par les relations entre les gars et les filles, ici. Disons que les filles ont l'embarras du choix. «La gent féminine est rare. Il y a 200 requins pour 40 proies. La fille a le choix, disons. Comme je dis souvent à ma mère : ici, même la plus laide a le choix...»

Ostie que t'as raté une belle occasion de te taire Patrice. Bon retour parmi nous. Surprends-toi pas d'être accueilli avec des tomates!

Patrice me raconte tout ça en riant. Et c'est drôle, en effet. On dirait une atmosphère de polyvalente. Sauf que, quand on cesse de rire, qu'on y pense un peu : les relations gars-filles - fuckées, toxiques, puériles - ajoutent une autre couche de vernis sinistre à l'endroit.

Vernis sinistre??? Tabarnak. Si les femmes ne s'intéressent pas à toi Patrice, c'est peut-être que tu n'es tout simplement pas intéressant. Tu devrais au moins te poser la question.

"Germaine": Prends des parents suivis par la DPJ. Un jour, ils en ont plein le dos. Tu viens ici et disons que c'est plus dur d'être suivi par la DPJ. On a déjà eu quelques mois sans travailleuse sociale, ici. Ou si tu dois de l'argent à quelqu'un : ça va être long avant qu'un huissier vienne cogner à ta porte...

Ben oui Germaine, on est tous des bums à Radisson. Encore là, avec des exceptions, Lagacé fait du journalisme. Imaginez. Ils engagent n'importe "quoi" à La Presse, ça saute aux yeux.

Voilà. Radisson, c'est ça. Une plaque tournante, un endroit où personne, ou presque, ne veut prendre racine.

Affirmation totalement fausse. C'est épouvantable d'écrire ça, quand tu passes moins d'une journée à Radissson. Lagacé l'a fait. Lagacé se prend pour un journaliste, à mon avis c'est juste un trou du cul. Remarquez que je le pense depuis longtemps...

Ah, oui, un dernier truc. Il n'y a pas de cimetière, à Radisson. Quand je vous dis que c'est sinistre : on ne peut même pas y mourir.

Plus con que ça, y'a Richard Martineau, son collègue à l'émission Les Francs Tireurs. Qui se ressemble, s'assemble!

(1) Radisson, si sinistre...
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lundi, juillet 20

Hurlement


Pas loin, mais pas là
Perdu, introuvable
Le ciel m'amène ailleurs
Là où je voudrais être

Retour difficile
J'me criss des mouches et des touristes
Trop longtemps sans sortir
Pas bon pour le moral

Pas là, tout simplement.
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mercredi, juillet 15

Ils sont où les prophètes de malheur?

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mardi, juillet 14

Ennui 1 Inspiration 0

Des choses arrivent qui sont comme des questions. Une minute se passe, ou bien des années, puis la vie répond. Alessandro Baricco

Y'a rien qui ressemble plus à un touriste... qu'un touriste. Dorénavant, quand ils vont me demander il est où le poisson à Radisson, je vais répondre; Dans la rangée no 3, il y a de la sardine!

Non mais, je le sais-tu moi où y en a du criss de poisson. Pis si je le savais, je ne le dirais pas.
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vendredi, juillet 10

Souvenir heureux


Probablement que je file paresseux.

J'ai pas envie de rien raconter.
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lundi, juillet 6

Hors Radisson: jour 13


Là c'est vrai, mes vacances sont finies.

Ça m'a vraiment fait du bien. Je repartirais demain matin mais... puisqu'il faut gagner sa vie.

Vendredi, j'ai rencontré la famille Laf. Je me suis rappelé que Mélanie était une merveilleuse mère, j'ai constaté que Nathan était très allumé, et pis que ben, Laf, c'est Laf.

Mon copain habite tout près d'une rivière. Cette journée là, elle était haute à cause de la pluie des derniers jours, ça ne l'empêche pas d'être très jolie.

Content Nathan? Sur les 4 photos que j'ai pris, c'est celle que tu as choisi que je publie!

Je ne connaissais pas beaucoup Val D'or, je ne trouvais pas la chose plus passionnante qu'il faut, jusqu'à ce que Johanne me fasse visiter, hier. C'est une très belle ville... que je pensais connaitre.

Ce matin, je me suis fait enculer pour la première fois de ma vie. Ouais, une colonoscopie. Moins pire que je pensais.

Demain matin, retour à Radisson. Content? Je ne sais pas.

Les feuilles me manquent...
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jeudi, juillet 2

Hors Radisson: jour 9 (2)



Photo 1: Sur un pont de bois, à St-Mathieu.

Photo 2: Celle-là, elle est juste pour Marie-Hélène, mais vous pouvez regarder pareil!

Photo 3: Mes parents avaient un "campe" tout près de là. C'est maintenant Léo et Diane, mon beau-frère et ma soeur, à qui l'endroit est prêté. C'est proche du paradis.
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Hors Radisson: jour 9











Il devait pleuvoir toute la semaine...

Ce n'est manifestement pas le cas. Je suis parti de La Tuque lundi matin sous la pluie, en soirée, à Ville des Laurentides, il ne pleuvait plus. Et depuis ce temps, il y a bien eu quelques gouttes... mais si peu!

Un détour à Vaudreuil sans histoire, à part une demi-heure à poireauter dans la circulation.

Je suis présentement à Lévis, bien reçu chez la belle Marie.

Une petite tournée à St-Jean-Port-Joli hier. Visite au Musée de la sculpture sur bois des Anciens Canadiens. Absolument magnifique. J'ai pris quelques photos, pas toutes bonnes, malheureusement.

À Beaumont près de Lévis, les personnages que vous voyez sur la première photo sont très impressionnants.

Y'a définitivement beaucoup de talents au Québec, deuxième photo...

Mes vacances achèvent... sniff.
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