Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

mercredi, février 24

Euh...

C'est probablement la plus longue panne d'inspiration que je n'ai jamais eu.

Pourtant je vais très bien. Ça fait un bon deux mois que je ne travaille plus à l'épicerie. J'ai fait une gaffe impardonnable, je ne m'étirerai pas.

Ce n'est pas la fin du monde, au contraire. Au début je m'en voulais beaucoup mais, je sais que ça ne sert à rien de se taper sur la tête. J'ai trouvé un autre emploi, deux semaines plus tard... et j'adore ça.

J'ai toujours rêvé d'essayer le métier de serveur dans un bon restaurant. On a ça ici et ça s'appelle l'Auberge. Vous viendrez me voir cet été...

J'espère que vous ne m'en voulez pas trop de ne pas donner de nouvelles. J'ai la tête ailleurs de ce temps-là. Ça arrive dans les meilleurs familles, j'imagine!

P.S. Ah oui, les athlètes canadiens ne sont pas à la hauteur des attentes de nos fameux médias. Tout un drame!!!
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jeudi, février 4

En attendant la semaine des 4 jeudis

Je ne comprendrai jamais le supposé mouvement souverainiste.

Jamais.

«Quand les Québécois réaliseront que l'espoir d'une réforme du fédéralisme est illusoire et que la seule voie d'avenir pour le Québec, c'est la liberté politique, à ce moment-là, nous serons prêts à mettre en oeuvre un projet de souveraineté clair et emballant.»(Gilles Duceppe)

Pourtant, il me semble que ça devrait être le travail de ces supposés souverainistes de nous démontrer que la réforme du fédéralisme est illusoire. Il me semble aussi que ces supposés souverainiste devrait DÉJÀ avoir un projet de souveraineté clair et emballant à proposer à la population québécoise.

Mais bon, faut croire que les conditions gagnantes ne sont pas encore réunies!!!

En attendant la semaine des 4 jeudis, ces arrivistes pourront continuer de collecter le très bon salaire et les supers conditions de travail qui vont avec la fonction de député à Ottawa.

Pis moi, je vais continuer de sacrer dans mon coin... criss de tabarnak.
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mardi, février 2

Comme un vieux vagabond

Écrire, c’est une façon de parler sans être interrompu. Jules Renard

Ça m'arrive fréquemment, plus qu'avant, de ne pas avoir envie d'écrire, soit parce que j'ai l'impression de radoter, soit parce que ma vie personnelle a besoin que quelqu'un s'en occupe.

Mais, je vais toujours écrire. J'y ai goûté, je ne peux plus m'en passer. Voilà!
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