Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

dimanche, décembre 30

Bonjour la police...

Ça m'arrive parfois de "méditer" sur le rôle de la police dans cette société, piégée par la propagande de toute sorte...

Comment ils font pour obéir aveuglément, à des gouvernements totalement corrompus ?

Prenez le Pakistan. On en a beaucoup parlé cette semaine. Pour qui suis, juste un tantinet, la chose, c'est bien clair que Moucharraf n'a pas les mains propres. Je viens de lire une nouvelle qui rajoute à cette impression...

" Des images diffusées au cours des dernières heures montrent un homme qui tire trois coups de feu en direction de Benazir Bhutto avant que ne survienne l'explosion d'une bombe.

Pourtant...

Le gouvernement continue toutefois d'affirmer que Mme Bhutto est morte lorsqu'elle a été projetée contre le toit de la voiture dans laquelle elle se trouvait, au moment où le kamikaze a fait exploser sa bombe. Le gouvernement a attribué la responsabilité de cet attentat, qui a fait 20 autres morts et 56 blessés, à Al-Qaïda.

On devrait tous avoir un Al-Qaïda à portée. C'est tellement pratique. T'as trompé ta femme, c'est la faute à Al-Qaïda. Tu voles ton voisin, c'est parce que tu côtoies des membres d'Al-Qaïda. T'as pissé à côté de la toilette, c'est Al-Qaïda qui l' a installé...

Pourtant... (2)

On lit dans cette nouvelle, ce passage, à la fin du texte, comme d'habitude..., Le président Moucharraf a ordonné à ses principaux responsables de la sécurité de répondre par la fermeté aux milliers d'émeutiers. Et vous le savez comme moi, les "principaux responsables de la sécurité", ceux qui ne sont jamais là quand ça chauffe, ordonneront aux simples policiers d'exécuter la sale besogne. Et ceux-ci obéiront, aveuglément !!!

Il me semble que ça porte à réfléchir. Là, on parle du Pakistan mais c'est comme ça dans tous les pays. C'est la même chose ici. Rappelez-vous Montebello, le sommet de Québec... et j'en passe, et des pires. Les policiers obéissent toujours au doigt et à l'oeil, d'où, peut-être, l'appellation "chiens", qu'on leur accole régulièrement.

Je pense que le métier de policier est utile à la société. Mais je me questionne quand même. C'est nous qui les payons... pour nous matraquer quand on manifeste notre désaccord. Est-ce qu'il faudrait devenir comme eux, obéissant aussi ?

Ce n'est pas vrai que nous vivons dans un monde libre. Bush ment. La seule liberté qu'on a, c'est de se soumettre à cette "farce"... en rêvant !

P.S. Autre sujet de "méditation", proposé par le cuistot. Il ne faudrait jamais se fier aux " "nouvelles fraiches". C'est toujours après quelques jours que la véritable information se pointe. Ceci étant, elle est toujours cachée. Celle que je commente dans ce texte, a été publié, à 21 h 29, un samedi soir...
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vendredi, décembre 28

Une soirée de fou...

Je viens de finir de travailler. C'était débile...

Travailler dans une cuisine, c'est stressant en sacrament, quand tout le monde arrive en même temps, et qu'aussitôt le restaurant vidé... il se remplit de nouveau. T'as juste le goût de crisser la job là.

Quand le calme revient, tu redeviens normal... tout en ayant pas hâte à la prochaine fois. C'est vraiment débile.

Outre ce pleurnichage, vos commentaires me manquent. Je sais, c'est le temps des fêtes, z'êtes z'occupés. Et puis des textes comme cette entrevue avec le bonhomme à barbe, c'est pas évident à commenter. Je l'ai re-lu. Je ne changerai pas un mot, mais disons que c'est un texte rock-n-roll. Ceux qui n'ont pas perçu là mon côté complètement délinquant, ne doivent rien comprendre de ce que j'écris... en général. ;-)

Sauf que c'est une véritable "brosse" que j'ai pris cette journée-là... je me trouvais moins drôle le lendemain. Je ne me souviens plus de la fin de la soirée... mais on me l'a raconté, bien entendu!

J'aime ça prendre un coup, mais-là, je vais devoir me parler. J'ai déjà cessé de boire pendant dix ans, je ne voudrais pas être obligé de refaire la même chose. Ça me ferait chier mais, s'il le faut, il le faudra...

C'est très personnel ce que je vous racontes là. Je le fais parce qu'à quelque part, l'écriture sera toujours thérapeutique. Il y aura ceux qui jugeront, il y aura ceux qui comprendront. Je n'écris pas cette "confession" pour que vous me donniez des conseils. Je l'écris pour aider ma réflexion. Je sais ce que j'ai à faire. J'ai déjà cessé de boire pendant dix ans...

Merci de lire mes élucubrations...
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mardi, décembre 25

Le père Noël, cette vieille ordure...

J'ai rencontré le père Noël...

G.V.: Salut vieux criss... pas trop fatigué ?
P.N.: T'es donc ben pas poli toi... hips !

G.V.: T'es encore saoul vieille sacoche ?
P.N.: Ouais... un brin. Qu'est-ce tu veux... prendre un petit coup, c'est agréable.

G.V.: Et mes cadeaux ???
P.N.: Vendus. J'avais soif...

G.V.: Non mais, quel ivrogne tu fais...
P.N.: Hips...

G.V.: J'aimerais ça savoir quel cadeau t'as donné à Stéphane Dion ???
P.N.: Héhé... Un vibrateur... pour sa femme. Comme ça, il pourra se concentrer sur l'essentiel...

G.V.: Euh... de quessé ?
P.N.: Il ne bande plus...

G.V.: Wow... Tout un scoop ça.
P.N.: C'est que son égo est occupé à plein temps, il aimerait ça que les Canadiens l'aiment...

G.V.: Ça prendrait un miracle.
P.N.: C'est ce que j'essaie de lui faire comprendre...

G.V.: Et Mario Dumont. tu lui as donné quoi ?
P.N.: Un miroir. Ça lui a fait vraiment plaisir...

G.V.: As-tu jasé un peu avec lui ?
P.N.: Oui mais, pas longtemps. Moi, quelqu'un qui doit lire ses notes avant de répondre... ça m'énarves...

G.V.: As-tu rencontré des personnes célèbres dans ta tournée ?
P.N.: Ben... George Bush, la reine d'Angleterre... et Michaëlle Jean.

G.V.: Je ne t'ai pas demandé si t'avais rencontré des trous de culs... Célèbre... tu comprend ? CÉLÈBRE !!!
P.N.: Hips... j'prendrais un autre bière.

G.V.: Y m'en reste pus, mais j'ai du vin.
P.N.: Ça va faire pareil. As-tu des grands verres ?

G.V.: T'en as rencontré, ou pas, des personnes célèbres ?
P.N.: Coudonc, deviendrais-tu l'Édouard Monpetit de la carnetosphère ?

G.V.: Répond vieux criss... ou je te donne plus de vin !!!
P.N.: Tu peux ben t'le fourrer dans le cul ton vin. Mon prochain "client", c'est Jacques Parizeau.

G.V.: Oui mais là, t"es "jammé" ici... pis y faut que tu répondes à mes questions.
P.N.: Écoute, y sont pas connus... mais dans ma tête, ils sont plus que célèbres ?

G.V.: De qui tu parles vieux sacripant ?
P.N.: Je te répondrai à cette question plus tard.

G.V.: T'as vraiment une tête de cochon. OK. Euh... t'as donné quoi à Jean Chrétien ?
P.N.: Le livre... L'art de se faire oublier !

G.V.: Et Brian Mulroney ?
P.N.: La même chose...

G.V.: Quoi ? T'es tanné de leur voir la face ?
P.N.: Mets-en tabarnak. Awoye, met du vin dans mon pichet...

G.V.: Bois-tu toujours comme ça ?
P.N.: Je suis tranquille aujourd'hui, la mère Noel est dans son SPM. La vieille crisse, elle chiale tout le temps, mais, dans ces périodes-là, c'est pire...

G.V.: T'as l'air d'avoir un sérieux problème de boisson ?
P.N.: En effet. Dans le nord, c'est pas facile à trouver.

G.V.: Je pense qu'on ne s'est pas compris...
P.N.: C'est une thérapie ou une entrevue que je passe, moé-là ?

G.V.: OK... ok, on se calme. C'est quoi le cadeau que t'as donné à Pauline Marois ?
P.N.: Un livre aussi. Je trouve que ces gens-là manquent de culture. Ils devraient lire plus... et moins écouter leurs faiseurs d'images.

G.V.: Et c'est quoi ce livre, puisqu'il faut insister ?
P.N.: Magouilles 101 pour les nulles.

G.V.: Elle l'avait pas déjà ?
P.N.: Ouais... la version platine. Je lui ai donné le livre de poche.

G.V.: Tu sembles d'une générosité mesquine...
P.N.: Je ne suis pas toujours comme ça. Je suis vraiment bien dans le nord, loin de la civilisation. Y sont "fucké raide" en ville...

G.V.: T'as remarqué ?
P.N.: Remarqué ? Remarqué ? Criss... c'est remarquable. T'as vu la neige que je leur ai envoyé ? L'année passée, ils braillaient parce qu'ils en avaient pas. Hihi... cette année, ils sont gâtés !!!

G.V.: T'es vraiment "chien". On est fait pour s'entendre. Ton pichet est-il vide ?
P.N.: Je commençais à avoir hâte que tu le remarques...

G.V.: Une chance que j'ai des provisions. Tu bois en tabarnak...
P.N.: C'est comme ça dans le nord. T'auras pas de misère à t'adapter...

G.V.: Euh... Qu'est-ce t'as donné à Pierre Bruneau ?
P.N.: Un masque. J'ai donné la même chose à Bernard Derome.

G.V.: Et Jean-Luc Mongrain ?
P.N.: Son 4%...

G.V.: Bof, il va réapparaitre ailleurs...
P.N.: C'est bien certain. Ceux qui l'écoutent... le méritent !!!

G.V.: Et Boisclair, il était dans ta liste ?
P.N.: Bien sûr. Je lui ai donné l'URL de ce carnet...

G.V.: T'es pas un peu baveux ?
P.N.: À boire, tabarnak...

G.V.: J'aime ça jasé avec toi...
P.N.: Arrête de téter pis donne-moi de ta "piquette"...

G.V.: De la "piquette" ? T'es pas gêné. On boit du LAMBERTI Santepietre, t'apprendras.
P.N.: Allez, avoue... tu l'as choisi à cause du prix.

G.V.: T'étais pas obligé de le dire. Qu'est-ce t'as donné à mon gérant ?
P.N.: Une belle soirée de Noël. T'as pas trop bu...

G.V.: Et ma réputation ? T'en fais quoi ?
P.N.: Elle est déjà faite. C'est petit Radisson...

G.V.: Tu marques un point... mais je m'en calisse. Si je meurs demain, je n'aurai pas de regrets...
P.N.: C'est pareil pour moi...

G.V.: Je trouve que l'entrevue s'étire un peu. Penses-tu que c'est l'effet de l'alcool ?
P.N.: Sans doute... mais j'hais pas ça.

G.V.: Héhé... Un autre point en commun. C'est quoi tes projets aujourd'hui ?
P.N.: Visiter mes plus beaux "clients"...

G.V.: Ah ouais ? C'est qui ? C'est qui ?
P.N.: Ben... ta nièce adorée. Et Marie Bla-Bla. Et celle qui t'as fait monter à Radisson. Et puis la belle Zoreille. J'ai aussi l'intention de me faire bercer par la musique d'Esperanza, faire une saucette chez cette vieille fripouille qu'est le vieux Henri... et parler de journalisme avec l'auteur de Blogue-Notes.

G.V.: C'est eux les gens célèbres ?
P.N.: Tout à fait.

G.V.: Ça va te faire une belle journée.
P.N.: J'ai pas de cadeaux pour eux... mais un million de câlins.

G.V.: Tu penses quoi de cette fête commerciale qu'est devenue Noël ?
P.N.: J'aimerais mieux ne pas en parler. Un, y'a ma job qui est en jeu... deux, je ne comprendrai jamais.

G.V.: Qu'est-ce que tu ne comprendras jamais ?
P.N.: L'hypocrisie...

G.V.: Ouf. Tu touches une corde, là.
P.N.: Une corde qui dérange, oui, mais... je suis assez près de l'action pour savoir de quoi il en retourne.

G.V.: T'as raison... on en parlera pas.
P.N.: Le bar ouvre plus tard, aujourd'hui, à Radisson. C'est la belle Linda qui travaille...

G.V.: Non mais, c'est qu'elle est jolie cette dame. C'est dommage, j'ai aucune chance.
P.N.: Ouais... t'es trop petit.

G.V.: Je sais, je sais...
P.N.: T'es ben fin... mais, trop petit !

G.V.: Je le sais, ciboire !
P.N.: Hihi...

G.V.: J'ai hâte que le bar ouvre ses portes...
P.N.: Moi aussi !

G.V.: Bon, chus tanné. Allez, je te laisse le dernier mot...
P.N.: Chers lecteurs zé lectrices de ce carnet, je vous souhaite, aujourd'hui, un fun... noir !!!
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Puisqu'il le faut...

Allez... Joyeux Noël !!!

Comme vous avez été sages cette année, je suis à vous mijoter un genre de "cadeau" bizarre... une entrevue avec le Père Noël. Savez, les cadeaux qu'on reçoit ne font pas toujours notre affaire... ;-)
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vendredi, décembre 21

Un cadeau pour l'humanité...

« On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte, et l’on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère. » Diderot

J'aime les artistes. Je pense sincèrement qu'ils sont un cadeau pour l'humanité. Aujourd'hui, je vais vous parler de mon ami musicien. On devrait tous avoir un ami musicien...

En 2008, ça fera exactement 30 ans que je le connais. À 18 ans, je ne comprenais pas grand chose, mais, je fumais du hash... et passais des heures à l'écouter. Dès le début, il m'a beaucoup impressionné. C'est qu'il n'aimait pas jouer les "affaires" des autres, il ne jouait que ses compositions. C'est toujours le cas...

On s'est perdu de vue, on s'est retrouvé, entre deux pizzas, et la magie s'est poursuivie. Ça m'aie arrivé de pleurer de joie en l'écoutant. Je passerais encore des milliers d'heures à l'écouter, j'aimerais encore être son agent... et je postule dès maintenant pour devenir l'agent de son fils. Pourquoi je vous parle de ce "magimusicien" ? Parce que je suis très, très content pour lui. Il vient de se faire un cadeau, qu'il partagera avec beaucoup de chanceux dans les prochaines années.

Esperanza, dis-le pas à personne, t'as énormément de talent pour la musique. Je sais que tu n'aimais pas l'entendre celle-là, à une certaine époque, j'espère que ce n'est plus le cas. Tu viens de te faire un grand plaisir. T'as bien fait. Demain, c'est trop tard pour être heureux !!!
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jeudi, décembre 20

L'atterrissage se déroule normalement...

Toutes choses sont dites déjà; mais comme personne n'écoute, il faut toujours recommencer. (André Gide... envoyé par Marie)

- Une chance que Radisson est un petit village. Non mais, parce que c'est froid ici, tout le monde fait marcher son véhicule avant d'y monter... et beaucoup plus longtemps que les trois minutes suggérées par la ministre de l'environnement. J'avais de la misère avec ça à Montréal, je n'ai pas plus de compréhension pour la "chose", ici. Un excellent mécanicien m'a déjà dit que, l'hiver, tu démarres et tu pars lentement. La voiture se réchauffe plus vite, et le moteur s'encrasse moins. Mais... y'a des culs tellement précieux!

- Une nouvelle "sensationnelle", qui ne m'a pas fait pas pleurer, mais pas du tout, est arrivée cette semaine... Le réseau de télévision TQS, propriété de Cogeco, se place sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers. C'est bien certain que j'ai une pensée pour les simples employés de cette entreprise. Je ne suis pas si sauvage. Sauf que TQS, à mon avis, c'est rien de moins qu'une véritable télé-poubelle..., avec comme guide spirituelle, le "père" de l'info-spectacle... j'ai nommé Jean-Luc Mongrain. Lui, il en aura créé des crétins. Sans compter ceux qui tentent de l'imiter!

- Pour réussir au Québec, il faut servir de la qualité aux Québécois. Le contraire peut marcher un temps... mais, j'en suis convaincu, jamais définitivement. Une blogueuse que je connais depuis très peu, résume très bien la "situation " de TQS... en deux petites phrases !

- J'écoute Mario Dumont faire son bilan de session parlementaire. Les commentateurs disent encore que l'ADQ, c'est un "one man show". Ça se peut. Sauf que je trouve Mario Dumont tellement inintéressant, que je l'oublie. Et pourtant, y faudrait pas...

- L'épinette ne sera jamais mon arbre préféré, surtout quand il est rachitique. Sauf qu'avec de la neige dedans, de la neige qui reste, c'est très joli. T'ajoutes à ça, un ciel bleu et le soleil, et tu te dis, ça doit être une partie du paradis.

- Ça sent le stress de Noël. Pas ici, chez-vous...

- La neige aura la paix cette année. Elle ne risque pas de fondre avant le "grand jour". On ne pourra lui reprocher... de ne s'être pas pointée à "nowouelle". Juste si vous avez le temps, une entrevue exclusive avec Mme la Neige, pondue il y a un an, à 5 jours près.

À part ça ben, moi, je vous aime toujours autant. Apparemment qu'on dit jamais assez; je t'aime. Faque...
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mercredi, décembre 19

Négligence... et connivence!

"Les médecins passent leur vie à mettre des drogues qu'ils ne connaissent pas dans des corps qu'ils connaissent encore moins." (Voltaire... envoyée par Marie)

Je n'ai pas de carte d'assurance-maladie... parce que je suis négligent. Je l'ai perdu depuis plus d'un an, et je viens tout juste de commencer à faire des démarches pour la ré-obtenir. Sauf que, quand je pense à ma "négligence", une pensée me titille constamment l'esprit, ces gens-là sont peut-être plus dangereux, que l'image qu'ils dégagent...

Une enquête de CBC révèle que les médecins continuent de prescrire des médicaments qui peuvent être mortels pour les personnes âgées, malgré des avis donnés par Santé Canada. (Source)

S'il n'y avait qu'une seule nouvelle qui aurait dû faire la UNE hier, c'est celle que j'aurais choisi. Mais comme d'habitude, un potin, les difficultés de TQS, aura relégué cette dernière à la page Z37... ou tout juste avant la météo... s'ils n'oublient pas d'en parler !!!
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Eh là...

C'est que le bien cuit n'est pas terminé !!!

Non mais, belle Zoreilles... et toi le père Ovide de la carnetosphère, peut-être tout court... vous êtes sans voix ? Étonnant...

Ouais, vous m'étonnez. C'est quoi ? Vous ne voulez pas me "maganer" l'égo ? Ou vous êtes sans voix, naturellement ?

:-D
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lundi, décembre 17

Oui là, mais...

Ne plus habiter Montréal, c'est éviter la tempête d'hier...

Et tout le stress qui va avec !

J'écoute, en même temps que j'écris, le "Club des ex" à RDI. Hostie qu'elle a une grande gueule la Liza. J'ai l'impression qu'elle prépare son retour. Ils sont durs à suivre ces "ex", quand ils parlent tous en même temps...

Un anonyme m'a demandé quand je reparlerais de politique. Je lui ai répondu; quand ça me tenterais... Et ça ne me tente pas encore. Ça me fait réfléchir beaucoup, par contre. C'est que je me demande qu'est-ce qui m'arrive ?

C'est bien certain que j'ai une opinion sur la conférence de Bali. Même chose au sujet de Vincent Lacroix ou Brian Mulroney... mais, j'ai déjà radoté beaucoup sur des "affaires" semblables, ce qui fait que, pour le moment, je ne suis pas inspiré d'en rajouter...

Il règne un beau ciel bleu, aujourd'hui, à Radisson.

Bonne journée... et merci de me lire quand même !
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samedi, décembre 15

Un peu de potinages...

Je ne peux pas commenter l'actualité, j'oublie de m'y intéresser...

Jeudi, les filles, Anne et Marie-Hélène, m'ont habillé pour l'hiver. Les bottes, le cache-cou et la tuque de Anne... et le manteau de Fred, sans sa permission. Quand j'ai vu mon boss, je lui ai dit; les filles m'ont habillé pour l'hiver. Il m'a répondu; t'es sûr qu'elles ne t'ont pas déguisé en clown ? Je l'ai trouvé très drôle...

J'ai rencontré le Jobin du village, jeudi soir, au bar. Lui, c'est le genre a s'amuser à faire chier les serveuses. Il fait ça pour rigoler, mais ce n'est pas toujours rigolo. Je ne voulais pas lui parler, connaissant sa réputation, mais je l'ai fait jeudi soir. Dans le fond, c'est un gars très sympathique. Il faut juste savoir le prendre, et surtout, ne pas prendre...

Je téléphone plus souvent qu'avant. Pourtant, je déteste cette "technologie". Ça m'épate. Je m'ennuie de certaines personnes. C'est une émotion que je vivais jamais, avant. Sérieusement. Je vais faire avec, sans aucun doutes, mais c'est ça quand même...

Un Fred, pas le chef pompier, s'est joint à nous comme employé. Super sympathique, très drôle, bon travaillant, minutieux... le genre avec qui on voudrait toujours travailler. Il est originaire du Saguenay, si je ne me trompe pas. J'espère qu'il restera avec nous, sincèrement...

J'aime ça aller à l'épicerie quand Marie-Hélène y travaille. Je suis toujours reçu avec un, "bonjour Guy", tellement sincère. La prochaine fois que j'y retourne, je récidive avec ma demande en mariage. Cent fois sur le métier, remettez votre ouvrage. Ben non, Dominic, son "chum", fais-toi z'en pas... It's just kidding...

Elle et Anne sont deux très grandes amies. Quand elles sont ensemble, elles rigolent tout le temps. C'est beau à voir...

Il n'y a que ces deux-là qui connaissent l'url de mon carnet... parce que je sais qu'elles n'en parleront jamais, sans mon consentement. Et pour le moment, je ne veux pas que les Radissoniens sachent que j'écris. Ça viendra bien assez tôt...

Hier, en principe, je devais commencer à cinq heure pm. À douze minutes d'avis, on m'a "callé' pour deux heure pm. À Radisson, c'est moins grave...

Cette année, histoire d'être politiquement correct, je vais envoyer deux cartes de Noël, pour la première fois de ma vie... et j'ai 47 ans. Non mais, tsé, Noël... la fête de la consommation, très peu, d'habitude, pour moi. Si vous en voulez une aussi, spécifiez-moi votre adresse. Soyez prévenus, le choix est limité...

Je me regarde aller... et je trouve que Radisson est en train de me changer. Vous l'avez remarqué avant moi, c'est assez fascinant...

J'aime ça vous donner des nouvelles. J'ai une qualité de lecteur que je trouve exceptionnelle. Certains se manifestent souvent, d'autres, à peu près jamais. Mais je sais que vous êtes tous là. Vous ne m'ennuyez jamais. J'ai lu les commentaires dans un billet de Martineau, récemment, et j'ai arrêté la chose après quatre, sur plus de 250. C'est vous dire...

Pis là ben, bonne nuit dans mon cas, et bon matin, dans le vôtre... !
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jeudi, décembre 13

Histoire de vous dire merci...

Vous avez laissé 28 commentaires, incluant les miens, dans mon billet du 14 novembre dernier. Je vous ai trouvé tellement gentils d'animer ce carnet, durant mon absence, que j'ai décidé de vous commenter, en essayant de vous faire rire...

Pis là ben, parce que j'ai vendu la mèche avant, ça ajoute une pression, une belle pression...

1et 2: Le vieux "schnock" et la belle Zoreilles ont réagi les premiers, le lendemain de la publication du billet en question. Eux autres, ils sont toujours là, à la même heure, ou presque, depuis qu'il(elle) me connaissent. Il(elle) seraient "addicts", que je n'en serais pas surpris...

3: Et le troisième mousquetaire, Esperanza, jamais loin, toujours avide... À bientôt pour avoir plus de nouvelles! Je le pense amateur de Love Story Académie, ou Occupation Triple. Le phénomène en redemande tout le temps. Dites, vous pourriez lui dire qu'un carnetier, c'est pas une machine ???

4: Salut Gaétan, je te trouve un peu suicidaire de continuer de me lire. T'es sûr que ton médecin est d'accord ? Libre à toi de répondre mais ton employeur c'est-y sodexco? Non... Si tu travailles pour la GRC, je te dirai qui est mon employeur, à condition qu'on partage le salaire...

5: Moi-même: L'ordi que je ne connaissais pas, appartenait à quelqu'un que je ne connaissais pas. (Censure)

6: Et là, l'avide numéro 3 récidive... En tous cas, nous, on a hâte... Bin hâte... As-tu payé ta cotisation ? Non ? Prend un numéro. C'est dire les amis, pas toujours évident...

7: Pas grave, on a trouvé une façon de communiquer en attendant, quitte à ce que tu t'appelles anonyme! Dis ma chouette, est-ce que ça t'arrives de penser que tu es trop intelligente pour laisser des commentaires ici ? Non mais, le carnetier... c'est qu'il est parfois gêné.

8: Y a toujours les signaux de fumée pour communiquer... Pour les signaux de fumée, je ne sais pas, mais parfois, y'a de la boucane en criss dans le restaurant. Dernièrement, Marie-Hélène m'a dit que je sentais le pop-corn. :-(

9: Moi, je suis sûre qu'il a déjà fait boucaner son clavier... Je me rappelle de certains sujets chauds, là, Guy était... en feu! En tout cas, le locataire d'en bas doit être content que je sois déménagé. Apparemment que je pesais très fort sur le clavier...

10-Il a la télé avec Bell Express Vu, incluant le canal 180... ;~) Nah... c'est le 780. Cher père Ovide de la carnetosphère québécoise, essaie, au moins, de bien rapporter les cancans !!!

11:Et Gaétan qui te remercies, alors que tu rapportes tout croche... SPA fort ;-)...

12: Chère Lise, ne doutes jamais que j'ai un très mauvais caractère. J'ai même pas besoin de faire semblant...

13: Moi, l'amitié entre gars, je trouve ça attendrissant. Moi je trouve ça chiant, des fois. Non, non, Esperanza, je ne parle pas de toi... :-)

14: @Zoreilles. Merci pour l'explication Zoreilles. Et merci d'être qui tu es !!! Lise, t'es trop politiquement correcte. Zoreilles, elle est plus que ça. Elle ne le sait pas et je pense qu'il ne faut pas lui dire. Non mais, t'imagines... si sa tête se met à enfler et qu'elle se porte candidate pour le Bloc !!!

15: C'est moi la marie qui a fait monter notre guy national ici... Ouais. Et le pire de tout, c'est qu'une fois rendu sur place, elle ne veut plus m'épouser...

16: Bonjour Marie-Hélène!!! Merci pour les nouvelles, c'est bon de savoir que Guy a des étoiles dans les yeux. Non mais, là Marie-Hélène, on se garde une petite gêne. C'est pas ton carnet ici, hein, faudrait pas l'oublier. D'ailleurs, t'as pas de carnet...

17: Moi j'attends que ça arrête de tomber pour aller passer la souffleuse pour une 3ième fois cette année. Allez Gaétan, arrêtes de te plaindre. Pelleter, c'est bon pour le cardio-vasculaire, quand on en meurt pas...

18: Ça s'en vient et en attendant, vous devez savoir que je vous aime beaucoup. Enfin, un commentaire pertinent !!!

19: As-tu opté pour un portatif ou pour un ordinateur de bureau finalement? Quoique je choisisse, tu seras en désaccord. T'es comme ça, un peu fin finaud. Certains t'aiment quand même, chanceux...

20: S'il y a une panne d'électricité au Québec, on saura que tu viens de te brancher sur le gros courant de LG-2. T'exagère un peu, comme d'habitude, mais bon, les médecins, y donnent juste les bons médicaments. Continue de suivre la posologie, t'es presque guérie...

21: Pain et vin bien sûr... un des meilleurs repas que j'ai pris, je peux dire. Marie-Hélène, tu peux parler de pain, mais pas de vin. Ne te rappelles-tu pas que nous vivons dans un petit village ?

22: Comme si c'était pas assez, du doré. Arrêtez, je suis jalouse! Ben là, t'as qu'a dire à ton Crocodile Dundee qu'il s'enlève les doigts dans le nez. C'est quand même supposé être un héros...

23: D'ailleurs, il y a près de trente ans, j'ai dégusté du coeur d'orignal préparé par la mère de Guy, chez-eux, à la Tuque... Bon là, tu radotes, mais certains t'aiment, chanceux...

24: l'assiette de Guy était si bien vidé que je l'ai remise directement dans l'armoire!!! Ouais, comme l'assiette du chien. J'ai trouvé ça curieux...

25: Ceci étant, je suis content aussi de savoir qu'un excellent repas lui coupe encore la parole! C'est un gros point pour Radisson! Je te prierais de n'en dire pas trop. Ces gens-là ne me connaissent pas... et je pourrais changer !

26: Je sens qu'on va avoir un scoop bientôt sur la vie à Radisson! Pis j'ai hâte... T'as hâte, t'as hâte, mais, puis-je te rappeler que tu n'as pas encore payé ta cotisation depuis 2002... Non mais, depuis quand écrit-on gratuitement ?

27: Ouais c'est plus loin que je pensais Radisson... Ici, c'est pas loin. Chez-vous, oui...

28: Ce serait aujourd'hui le grand jour du branchement... Allez Père Ovide, avoue, tu l'as raté celle-là. Celle-là aussi, que dis-je...

Vous êtes des anges. Je le dis comme ça, parce que, dans ma tête... c'est ce que je pense vraiment. Chuis pas toujours lucide, mais je vous aime tout le temps. Vous êtes d'une importance capitale dans ma vie. Si je ne vous avais pas, j'm'inventerais d'autres animaux... mais j'm'ennuierais de vous quand même.

Merci.
@

mercredi, décembre 12

C'est dans les yeux...

Du reste, il ne restera jamais rien...

Une raison fondamentalement anodine m'a inspiré ce titre, et la première phrase de ce billet. Je déteste me faire la barbe, elle est dû depuis quelques jours... et ce ne sera pas pour aujourd'hui, que je me suis dis, en me regardant dans un miroir.

Vive le nord !

P.S. Gaétan, Marie-Hélène, et Zoreilles, vous avez répondu à mes questions. Et Michel aussi... je suis sur qu'il y aura une nouvelle qui te fera réagir un jour ou l'autre. Ce texte insipide que je viens de publier, est la preuve, que je commence, peut-être, à comprendre...
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Immobilité contemplative...

« On ne peut nier que la femme a distancé la guenon plus que l’homme le singe. » Jacques Duval

Aujourd'hui, je suis en congé. D'habitude quand je suis en congé, je prend un coup... J'ai pas commencé encore mais, un reste de bouteille de vin me regarde avec l'air de me dire; qu'est-ce t'attends ?

Je viens de faire le tour, rapidement, des quelques sites d'actualité que je consulte. Je retiens qu'un malade a tué sa fille parce qu'elle refusait de porter le voile. Pour le reste, je m'en calisse pas mal...

C'est beau la neige... quand c'est blanc !

Je suis depuis longtemps convaincu que les femmes sont plus intelligentes que les hommes. C'est pourquoi j'aime vraiment la pensée qui débute ce texte...

J'ai encore vu un renard dans la cour du resto hier. Ça me dérange un peu que les employés lui donnent de la nourriture. Je sais qu'on ne doit pas faire ça... mais je me tais, pour le moment.

J'ai travaillé avec le jeune cuistot, qui se prend pour le boss, hier soir. Je n'ai pas eu de problème, mais ça me stresse quand même. C'est que je connais mon caractère...

J'ai commencé un texte que j'hésite à publier. Un texte qui répond à vos commentaires laissés dans le billet du 14 novembre, de façon humoristique, genre bien-cuit. Ce qui me fait hésiter, c'est que je suis un peu baveux et j'ai peur que vous le preniez mal. Vous avez été tellement gentils d'animer ce carnet durant mon absence. Mais je vais le publier quand même, en essayant de ne pas me censurer. Parce que dans le fond, c'est ma façon de vous dire merci... ;-)

Chaque fois que je vois le chiffre "6", je pense à ma mère. Je ne suis pas nostalgique mais, j'en profite pour lui dire bonjour. Les 28 premières années de ma vie avec elle, c'était l'enfer... les quatorze dernières, le paradis. Et c'est de ça que j'aime me rappeler...

J'adore le calme qui règne ici...

Ma nièce adorée m'a suggéré de m'ouvrir un compte sur Facebook. J'hésite. C'est que les amis, il faut leur donner des nouvelles... en pitonnant sur le clavier. Et à deux doigts, ça va pas vite pour répondre. J'ai, d'ailleurs, une relation ambigüe avec les amis. Ceux que j'ai, je les aime vraiment beaucoup... et je trouve que j'en ai assez. Je ne me comprend pas toujours...

Josée, c'est très, très, très beau ce que tu fais. Je pense m'y connaitre un peu, pour avoir déjà vendu ce genre de chose. Tu m'as vraiment impressionné. Lâche pas et surtout... VEND PLUS CHER !!!

Et toi Esperanza, si tu ne peux pas voir ces trésors parce que tu n'as pas accès à la "haute vitesse", ben, t'as qu'à déménager dans le nord. ;-)

Ce sera tout pour le moment. Longue vie à vous, sans qui je n'existerais pas. Du moins sur le web !
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mardi, décembre 11

C'est comme on dit...

« La télévision est faite pour ceux qui, n’ayant rien à dire, tiennent absolument à le faire savoir. » Pierre Dac

J'ai écouté un peu plus la télé dans le dernier mois. J'ai l'impression que la chose devient de plus en plus abrutissante. Juste un exemple, hier, à RDI, ils ont parlé de l'affaire Pickton tout l'après-midi. Avec des reportages tous plus débiles les uns que les autres. Je n'ai rien retenu et j'en retiens de moins en moins. Je vais peut-être finir par guérir...

S.V.P., c'est pas nécessaire de me dire que je peux regarder d'autre chose!!!

Je suis comme en transition virtuelle présentement. Vous me connaissez comme quelqu'un qui commente beaucoup l'actualité. Sauf que l'actualité m'emmerde de plus en plus. J'ai moins le goût de commenter. Je ne sais pas que va devenir ce carnet, car je n'aime pas trop parler de ma vie personnelle.

Sauf que certains d'entre-vous semblent aimer ça, même qu'ils en redemandent!

Hier, j'ai travaillé avec Marie. Une personne très travaillante et pas emmerdante. Bon, parfois elle n'est pas de bonne humeur mais, moi aussi, je ne le suis pas toujours. Surtout quand je me fais chier par un jeune criss. La serveuse avec qui j'ai commencé, c'est l'ange de la place. Anne de son prénom, super sympathique de son état. Il y a eu aussi, plus tard, Nadia, toujours très drôle. De ce côté là, y'en a pas de problème...

C'est avec le jeune qui se prend pour le boss, que c'est pire...

J'ai encore vu mon renard quotidien. Le froid rend son poil très joli. Celui que j'ai vu aujourd'hui s'assoit pour manger. Je ne sais pas si ils font tous ça???

On est bien ici. C'est vraiment loin de la folie du monde. J'étais vraiment dû pour quitter la grande ville. Parlant de grande ville, un Montréalais est passé au restaurant et il trouvait absolument incroyable que des gens décident de vivre à Radisson. Typiquement Montréalais, oui, oui !

C'est la saison de la chasse aux caribous. Les chasseurs en ramènent beaucoup. Il y en a tellement, pas trop loin, que je vais peut-être en voir quelques uns... trainer le père-noel, avant vous autres !

Bonne journée, fidèles lecteurs...
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dimanche, décembre 9

Ici la neige...

Y'en a moins qu'à Montréal. :-)

Et même si c'était le cas, ça dérangerait personne, à part ceux qui veulent sortir du village.

Tout n'est vraiment pas loin ici. La caisse, le bureau de poste, l'épicerie, le bar, ben oui le bar, sont tous à moins de cinq minutes à pied. Ça me prend moins d'une minute pour me rendre à mon travail. Ce qui fait que, même si il fait "frette", ça ne me touchera pas beaucoup.

Il se consomme beaucoup d'alcool à Radisson. Est-ce un problème ? Je ne pense pas. La vie est courte quand on y regarde de près. Et comme dans tous les villages, le "memérage" étant une activité très prisée, ça fait des sujets de conversations !

Hier, les "notables" qui administrent ce village se sont réunis, au restaurant où je travaille, pour le traditionnel party de Noël. Ils ont fini la soirée au bar, juste à côté. Je connais maintenant la directrice du village et je connaissais déjà le directeur du service des incendies. C'est un peu grâce à lui si j'ai filé mignon un certain jour de novembre.

Il n'y a qu'un restaurant ici. Parfois c'est tranquille, parfois ça roule en tabarnak. Excusez l'expression. J'hais pas ça cuisiner même si très stressant à certain moment. De plus, je n'ai pas le choix d'adoucir mon caractère et ça m'épate de voir que je peux y arriver. Les serveuses sont pour la majorité, très sympathique. Les cuistots aussi... pour la majorité !

Les gens d'Hydro Québec qui travaillent ici n'ont pas bonne réputation. On les dit têtes enflées. Je les croise quand je vais à la caisse ou au bureau de poste. Certains n'ont pas le sourire facile, c'est évident. Ils sont très, très, bien traités ici les gens d'Hydro-Québec. J'y reviendrai...

À environ 30 kilomètres du village, il y a un dépotoir à ciel ouvert. Et dans ce dépotoir, les ours s'en donnent à coeur joie... quand ils ne dorment pas. Et ce "spectacle" semble très apprécié par les gens d'ici. Et oui. Apparemment que durant l'été, les gens se rendent sur place pour observer la chose. Ils appellent ça leur ciné-parc. :-)

Je n'ai pas beaucoup de temps pour observer l'actualité mais ça reviendra. Un nouvel ordi demande beaucoup de temps à organiser. Surtout quand tu n'y connais rien et que la patience n'est pas ta première vertu.

À suivre...
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samedi, décembre 8

Un jour plus tard...

J'ai travaillé beaucoup depuis hier. Je n'ai pas eu le temps de tous vous lire, mais ça viendra. Vous êtes vraiment "hot"...

Ça fait une semaine que j'ai cet ordi... avec Window Vista. Je me demande sérieusement comment peut-on vendre une telle merde sans problème de conscience. Si j'avais Bill Gates en face de moi, je pratiquerais certainement quelques jurons en anglais.

Non mais, c'est vraiment merdique. Si vous avez des trucs à me suggérer pour rendre la chose moins pénible, je vous en serai éternellement reconnaissant...

J'ai téléchargé Window lives, histoire de converser avec mes ami(e)s proches. Je vais devoir tout désinstaller car c'est l'enfer.

Moi et la technologie, ça ne s'arrange pas...

Pour le reste... ben là, je m'endors un peu mais, je vais devoir oublier cela. Je commence dans 45 minutes...

P.S. Ah oui... un très bon texte de Foglia, aujourd'hui dans La Presse. « Anyway c’est dans 100 ans. Il y a beaucoup plus urgent. Je ne comprends pas pourquoi le discours écologique, toujours gonflé aux gaz à effet de serre, ne dit presque rien du cancer. Ne dit presque rien de la chimie. Ne dit presque rien de l’usage intensif des pesticides en agriculture. Le Canada par exemple, si prompt à s’inquiéter de la nocivité du lait cru, si prompt à mesurer notre cholestérol, le Canada homologue plus de 300 produits qui sont soit des insecticides, soit des herbicides, soit des fongicides et qui nous font crever, et qui nous donnent la peste et des boutons, et des bubons polychlorés. » (Source)
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vendredi, décembre 7

Ça y est...

La porte sur le monde est maintenant ouverte...

Yéééééééééééééééééééééééééé !!!

Je suis présentement très excité. Et oui, j'ai enfin internet. Je suis tellement content, que je ne sais pas trop quoi vous dire. C'est bien certain que j'aurai des tonnes de textes à lire avant de redevenir "normal".

Vous avez été extraordinaire durant mon absence. Vraiment. J'ai trouvé vos commentaires aussi bon que le filet mignon que j'ai mangé chez Fred et Anne. Vous êtes des lecteurs vraiment sympathiques. Qu'on vous félicite !

Aujourd'hui, je commence à travailler à 5 heure. J'aurai donc le temps de lire les billets que vous avez publié durant mon absence...

À plus !

P.S. Détail intéressant; je suis arrivé à Radisson le 6 novembre, exactement 5 ans après le déces de ma mère. Je trouve ça très significatif. ;-)
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