Faisons payer les moins nantis!
Un peu de temps à perdre, faque...
Moi: Salut Phil, ça va?
Phillipe Couillard: Pas plus qu'il faut.
Moi: Comment ça?
Phil: Je dois te donner une entrevue!!!
Moi: Ben t'es pas obligé obligé, tu peux faire semblant d'être malade.
Phil: Je le sais bien que tu me niaise, je suis malade pis ça te calisse rien.
Moi: Toi malade? Voyons donc, t'es médecin, t'as deux trou de cul, oups je veux dire deux autres médecins dans ton environnement immédiat, Barrette et Bolduc. Tu peux pas être malade... à part que malade mental. Je me trompe?
Phil: On voit bien que tu connais rien à la maladie de l'austérité.
Moi: T'as raison, je n'y connais rien. Tu veux m'expliquer?
Phil: C'est pas compliqué du tout. Tu prends dans la poche des pauvres, tu redistribues dans la poche des riches.
Moi: Oui mais tu trouves pas que cette maladie est difficile à vivre pour les régions, les villes, les travailleurs de la fonction publique, en fait un peu tous les Québécois?
Phil: Je ne peux pas comprendre, je ne suis qu'une marionnette. Une marionnette, ce n'est pas là pour comprendre mais bien pour exécuter.
Moi: Certains ont déjà commencé à dire que tu étais pire que Jean Charest, tu répond quoi?
Phil: Définitivement. Ceux que je représente sont très fiers de moi.
Moi: Me semble que c'est pas juste les gros bonnets que tu dois représenter, mais tous ceux qui paient ton salaire, non?
Phil: Aye le comique, ne sois pas naïf. Depuis quand les marionnettes, qui ont passé au gouvernement jusqu'à aujourd'hui, sont là pour représenter l'ensemble de la population?
Moi: Est-ce que Harper t'a appelé pour te féliciter de le copier et de museler tes ministres?
Phil: Oui. Il m'a dit que c'est la meilleure idée qu'il a eu depuis qu'il est premier ministre.
Moi: T'as pas un peu honte de renier les promesses que tu as fait aux Québécois durant la dernière campagne électorale?
Phil: Une marionnette, ça n'a jamais honte.
Moi: Tu as annulé une visite à Gatineau récemment, on peut savoir pourquoi?
Phil: Il y avait une manifestation de méchants terroristes armés jusqu'aux dents. J'ai eu peur pour ma sécurité.
Moi: Tu considères qu'une pancarte c'est une arme?
Phil: Si elle est tenue par un méchant, oui. Et ceux qui ont manifesté cette journée-là étaient tous des méchants.
Moi: Tu trouves pas que ton explication est un peu pas mal simpliste?
Phil: On m'a dit de te répondre ça, on ne m'a pas demandé de réfléchir.
Moi: On a appris hier que tu irais à Paris avec six de tes ministres. Tu vas faire quoi là-bas? Manger du fromage? Boire du vin? Visiter la tour Eiffel?
Phil: Tout ça et un peu plus. Nous, les Libéraux, adorons gaspiller l'argent des contribuables.
Moi: On peut lire dans La Presse de ce matin que tu prépares un remaniement ministériel. Pourquoi donc? Tu trouves que certains de tes ministres sont incompétents?
Phil: Ils sont très dévoués. Pas tous des 100 watts... mais très dévoués.
Moi: Pour terminer cette entrevue, qu'aimerais-tu que les Québécois retiennent de ta première année comme premier ministre?
Phil: Que je suis génial. Mais je sais bien que ce qu'ils retiendront, c'est que je suis un couillon au service des plus riches.
Moi: Ben coudonc!
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Moi: Salut Phil, ça va?
Phillipe Couillard: Pas plus qu'il faut.
Moi: Comment ça?
Phil: Je dois te donner une entrevue!!!
Moi: Ben t'es pas obligé obligé, tu peux faire semblant d'être malade.
Phil: Je le sais bien que tu me niaise, je suis malade pis ça te calisse rien.
Moi: Toi malade? Voyons donc, t'es médecin, t'as deux trou de cul, oups je veux dire deux autres médecins dans ton environnement immédiat, Barrette et Bolduc. Tu peux pas être malade... à part que malade mental. Je me trompe?
Phil: On voit bien que tu connais rien à la maladie de l'austérité.
Moi: T'as raison, je n'y connais rien. Tu veux m'expliquer?
Phil: C'est pas compliqué du tout. Tu prends dans la poche des pauvres, tu redistribues dans la poche des riches.
Moi: Oui mais tu trouves pas que cette maladie est difficile à vivre pour les régions, les villes, les travailleurs de la fonction publique, en fait un peu tous les Québécois?
Phil: Je ne peux pas comprendre, je ne suis qu'une marionnette. Une marionnette, ce n'est pas là pour comprendre mais bien pour exécuter.
Moi: Certains ont déjà commencé à dire que tu étais pire que Jean Charest, tu répond quoi?
Phil: Définitivement. Ceux que je représente sont très fiers de moi.
Moi: Me semble que c'est pas juste les gros bonnets que tu dois représenter, mais tous ceux qui paient ton salaire, non?
Phil: Aye le comique, ne sois pas naïf. Depuis quand les marionnettes, qui ont passé au gouvernement jusqu'à aujourd'hui, sont là pour représenter l'ensemble de la population?
Moi: Est-ce que Harper t'a appelé pour te féliciter de le copier et de museler tes ministres?
Phil: Oui. Il m'a dit que c'est la meilleure idée qu'il a eu depuis qu'il est premier ministre.
Moi: T'as pas un peu honte de renier les promesses que tu as fait aux Québécois durant la dernière campagne électorale?
Phil: Une marionnette, ça n'a jamais honte.
Moi: Tu as annulé une visite à Gatineau récemment, on peut savoir pourquoi?
Phil: Il y avait une manifestation de méchants terroristes armés jusqu'aux dents. J'ai eu peur pour ma sécurité.
Moi: Tu considères qu'une pancarte c'est une arme?
Phil: Si elle est tenue par un méchant, oui. Et ceux qui ont manifesté cette journée-là étaient tous des méchants.
Moi: Tu trouves pas que ton explication est un peu pas mal simpliste?
Phil: On m'a dit de te répondre ça, on ne m'a pas demandé de réfléchir.
Moi: On a appris hier que tu irais à Paris avec six de tes ministres. Tu vas faire quoi là-bas? Manger du fromage? Boire du vin? Visiter la tour Eiffel?
Phil: Tout ça et un peu plus. Nous, les Libéraux, adorons gaspiller l'argent des contribuables.
Moi: On peut lire dans La Presse de ce matin que tu prépares un remaniement ministériel. Pourquoi donc? Tu trouves que certains de tes ministres sont incompétents?
Phil: Ils sont très dévoués. Pas tous des 100 watts... mais très dévoués.
Moi: Pour terminer cette entrevue, qu'aimerais-tu que les Québécois retiennent de ta première année comme premier ministre?
Phil: Que je suis génial. Mais je sais bien que ce qu'ils retiendront, c'est que je suis un couillon au service des plus riches.
Moi: Ben coudonc!