Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

vendredi, mai 30

Faisons dans le potin!

Je sais qu'il y a des nouvelles beaucoup plus importantes...

Comme par exemple, Julie, qui a dit, à 7 Jours, propriété de Quebecor, que, Maxime a...

Soupir.

Le Canada a tellement aliéné sa souveraineté en matière d'énergie qu'une province comme l'Alberta ne peut plus appliquer sa loi sur l'énergie, qui interdit l'exportation de son gaz naturel tant qu'elle n'a pas une réserve démontrée de 15 ans, ce qui n'est plus le cas. (Le Devoir)

Tellement aliéné qu'il est dit dans le texte. Tellement, ça veut dire beaucoup, en tout cas pas mal. Ça veut dire aussi, comment ça que les Canadiens se sont fait passer un tel sapin? Ça veut dire aussi, y'en a combien d'autres sapins comme ça?

Y'a pourtant l'opposition, les médias...
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Salut mon petit bonhomme...

Je vois que tu deviens un homme.

Bonjour Nathan. C'est l'ami de ton papa, Guy.

Je voulais te dire, beau petit bonhomme, que j'aimerais ça, être aussi ami avec toi, qu'avec ton papa, et ça, c'est pas peu dire.

De mon côté, je vais tout faire, je suis vieux, je connais des trucs.

De ton côté, j'ai pas de doute... tu es très intelligent.

C'est qu'avec les parents que tu as, t'es drôlement privilégié.

Tu sais Nathan, y'a des parents qui en arrachent... et leurs enfants en souffrent. Toi, t'es chanceux, t'es tombé sur une bonne famille.
...
Dans le fond, je voulais juste dire que j'ai adoré ce billet. Tu continues d'être très beau Nathan, que ton papa te dise... que je te l'ai dit!
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mercredi, mai 28

Le déserteur...

J'aime beaucoup cette chanson, de Boris Vian. Vous pouvez l'entendre ici...

Le Déserteur est une chanson écrite par Boris Vian, sur une musique de Harold Berg, dont la première interprétation a été diffusée en 1954. (Wikipédia)

Elle serait écrite aujourd'hui, qu'elle serait tout à fait pertinente...

Monsieur le président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps

Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir

Monsieur le président
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens

C'est pas pour vous fâcher
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
Je m'en vais déserter

Depuis que je suis né
J'ai vu mourir mon père
J'ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants

Ma mère a tant souffert
Elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers

Quand j'étais prisonnier
On m'a volé ma femme
On m'a volé mon âme
Et tout mon cher passé

Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes
J'irai sur les chemins

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France
De Bretagne en Provence
Et je dirai aux gens:

«Refusez d'obéir
Refusez de la faire
N'allez pas à la guerre
Refusez de partir»

S'il faut donner son sang
Allez donner le vôtre
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le président

Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'armes
Et qu'ils pourront tirer

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lundi, mai 26

Ça sert qui?

Northman, que je rencontre régulièrement, m'a personnellement posé cette question suite à ce texte où je parlais de Maxime Bernier...

J'y ai réfléchi depuis, et j'avance l'hypothèse que ça ne sert que de divertissement... voulant nous faire croire que l'information, informe. Nous sommes à l'époque de Big Brother, ne l'oublions pas. Demain, il y aura un autre délire médiatique, Maxime Bernier a démissionné.

Tous les experts, sans oublier l'homme de la rue, se prononceront. Ce sera le sujet du jour. Et après-demain, il sera oublié, une autre insipidité prendra la relève.

Il faut le dire, c'est un cas de conscience...
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Con-vergence...

Ou l'art de prendre le lecteur pour un imbécile!

Je viens de lire un texte sur Canoe, propriété de Quebecor, publié aussi dans le Journal de Montréal, propriété de Quebecor. On y apprend que TVA, propriété de Quebecor, diffusera une entrevue exclusive avec Julie Couillard, vous savez, l'ex-petite amie de Maxime Bernier.

À la fin du texte, il est écrit: Le Journal a eu vent de l'entretien de Mme Couillard avec Paul Larocque, mais la direction de l'information de TVA a refusé qu'un journaliste assiste à l'enregistrement dans un hôtel du centre-ville. Notre photographe a toutefois été autorisé à prendre quelques clichés.

Franchement...
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dimanche, mai 25

Le party, la suite...

Ça ne s'est pas bien terminé... pour mes cuillères!

Elles sont cassées. C'est de ma faute, j'ai joué trop fort.

Mais ce n'est pas la fin du monde. Et ma patronne, elle joue bien en tabar...
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samedi, mai 24

Les personnages de Radisson!

Une belle gang...

C'est ce que j'ai retrouvé, hier soir, au party de le radio communautaire qui fête, cette année, ses dix ans.

Au départ, ça ne me tentait pas du tout, mais la belle Valérie m'a convaincu. Valérie, elle a 18 ans, nous travaillons ensemble... et nous avons beaucoup de respect l'un pour l'autre. Elle aime travailler avec moi, j'aime travailler avec elle. Je l'aime vraiment beaucoup Valérie, tout comme son "chum"...

Francis, conjoint de Valérie, c'est le boucher du village. Un bon petit bonhomme avec qui je m'amuse beaucoup. Ses meilleurs amis sont tous plus âgé que lui, ce qui en dit long sur sa maturité, même si des fois...

Il y avait aussi Pompon. Bon bonhomme de son état, avec lui, je peux discuter de n'importe quoi. Il n'est pas souvent d'accord avec moi sur les questions de fond, mais on discute, sans s'emporter. On échange des points de vues, dans le respect. Son poisson préféré, c'est le doré. En fait il n'aime à peu près que le doré. C'est pas avec lui que je vais manger de la petite truite!

Les personnages que je mentionne dans ce billet sont très "significatifs" dans ma vie de Radissonien. Travailler à l'épicerie me procure un avantage certain, je vais finir par connaitre tout le monde. Un de ceux que j'ai vraiment hâte de connaitre plus, était aussi présent. Je tais volontairement son nom, pour le moment, c'est que je le trouve fascinant. Je ne le vois pas souvent, mais chaque fois, il m'allume. Ce fût encore le cas, hier soir...

On rencontre parfois des beaux couples. Vous savez ceux qui nous déclenchent un... ostie qu'ils vont bien ensemble. Le beau couple ici, c'est Éric et Mélisa. Oh ce qu'ils sont beaux à voir. Éric est probablement le plus "baveux" de tous les gens que j'ai déjà rencontré. Il me donne vraiment du fil à retordre. Ça promet beaucoup d'éclats de rire... dans le futur. Tant qu'à sa belle, je ne la connais pas beaucoup, mais elle est adorable. Une autre que j'ai envie de connaitre pluss..

Les "abeilles" de cette fête, ceux qui s'assurent que les invités ne soient jamais déshydratés, étaient Marie-Hélène, Guylaine, Linda, Fred et Normand. Un mot pour eux, BRAVO.

Bravo aussi, aux organisateurs. Je ne les nomme pas parce que je ne les connais pas tous. Mais ils ont fait du bon travail, je pense. Et puis, c'est pas fini. Ouais, ça se poursuit ce soir.

Et ce soir j'y retourne, avec mes cuillères...

À suivre!
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mardi, mai 20

Il était une fois...

Quand j'étais syndicaliste!

Oh, ça n'a pas duré longtemps. Je travaillais dans une industrie qui fabriquait des divans et des causeuses. Nous étions "protégés" par les Teamsters, vous savez ce syndicat américain très puissant... très crosseur aussi.

À l'époque, je gagnais $5.00 de l'heure. Les conditions de travail étaient ordinaires, dans mon département, dans celui du rembourrage, elles étaient exécrables, parce que le gérant dudit département était un véritable bourreau.

Un jour, la compagnie a décidé de congédier un employé que j'aimais bien. Un congédiement que je considérais injustifié, selon notre convention collective. C'était de la merde cette convention, mais...

J'ai donc demandé à notre représentant syndical de faire son travail, faire ré-engager notre confrère. Il s'est essayé une première fois, ça n'a pas marché.

La vente commence quand le client dit non.

Quand le représentant est revenu me voir pour me donner les résultats de sa rencontre avec les patrons, je lui ai dit: Regarde, ils n'ont pas le droit de le congédier, on paye des cotisations, c'est pas pour rien, fais ta job. Il a démissionné... et j'ai pris la relève.

Notre confrère a été ré-engagé, grâce une technique de vente. J'ai vendu l'idée au propriétaire de l'usine que, si les employés étaient heureux, ils produiraient mieux. Il a embarqué. Sauf que j'avais des "projets". J'étais tanné d'entendre les employés se plaindre, avec raison, à chaque pause. C'est que le bourreau cité plus haut était vraiment épouvantable...

Quand les patrons ont repris mon confrère, il m'ont en même temps fait un beau cadeau, de la crédibilité, auprès des employés. Ils ont regretté plus tard, et elle est là l'histoire.

J'ai décidé d'organiser une assemblée générale. Pour ça, ça me prenait de l'argent pour louer le local. J'ai téléphoné au représentant Teamster à Montréal pour lui faire part de mes besoins. Il m'a répondu: Ben, ça pourra pas se faire tout de suite, je pars en vacances. Je lui ai répondu: Je n'ai pas besoin de toi, j'ai juste besoin d'argent pour louer le local!

Et l'assemblée eu lieu...

L'assemblée devait se tenir à 7h30. À 7h20... nous étions trois ou quatre. Vous dire que j'étais inquiet. Quand l'assemblée a commencé nous étions plus de 70 sur 80 employés. Le quorum était atteint. ;o)

J'ai fait un discours, évidemment. Mon message se résumait à ceci; Il faut être unis. Il ne faut plus que vous acceptiez de vous faire humilier par ce gérant.

Nous n'étions pas bien payés, notre convention collective était un torchon... mais il y a des limites à l'humiliation. À un moment donné dans mon "discours", j'ai mis le point sur la table, assez fort, et j'ai dit quelque chose comme: Tabarnak, il ne faut plus accepter de se faire chier par ce crétin. Ensemble, on peut le faire.

J'avais aussi prévenu les employés, ils vont tester notre solidarité.

Et ça n'a pas manqué. Le lendemain, à la pause de 9h45, un employé vient me voir et me dit, je résume: Guy, le gérant m'a dit que je ne travaillais pas bien, ce qui n'était pas le cas, et il m'a dessiné une porte sur mon meuble, en voulant dire...

Ma première réaction, je m'en souviendrai toujours: Ah ben tabarnak, le point sur la table, encore, ça marchera pas comme ça. Ça m'a véritablement fâché. J'ai immédiatement eu envie d'aller voir mes patrons...

Sauf que j'étais tellement fâché... que les employés m'ont retenu. Ils m'ont dit Guy, attend à midi. J'ai bien fait de les écouter. À la pause du midi, celui qui s'était fait dessiner une porte... avait reçu des excuses, du gérant imbécile. Notre solidarité était sauvegardée. Trois semaines plus tard, le crétin ne travaillait plus dans l'usine. Je ne me rappelle pas si ce trou-de-cul a été congédié, ou s'il est parti de lui-même, mais la dernière fois que nous l'avons vu, c'était lors d'une pause-diner, à l'extérieur.

Quand je l'ai vu partir, ça m'a inspiré de lui chanter cette "mélodie", et tous ceux qui étaient là ont emboité... Nah nah, nah... hé, hé, good bye!

J'aurais voulu faire plus, comme par exemple améliorer notre convention collective, mais un liche-cul ayant dévoilé ma stratégie aux patrons, j'ai abandonné. Je me suis trouvé un autre travail. Quand, à la pause de 9h45, j'ai annoncé à mes confrères que je quittais, certains m'ont dit; Qu'est-ce qu'on va faire Guy si t'es plus là?

Ma réponse a convaincu mon patron de me payer ma dernière journée, sans que j'aie à travailler. Il en avait assez entendu!

Ce fût une très belle expérience, malgré tout. Nous avons prouvé que, quand on se tient...
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vendredi, mai 16

Bof...

Le printemps s'installe très, très lentement à Radisson...

Le soleil a décidé de nous ignorer, il ne se pointe pas souvent.

Ça joue sur le moral de plusieurs, pas sur le mien.

L'ostie de laveuse continue de faire chier ses deux utilisateurs.

J'ai hâte de manger du poisson frais.

Je suis (encore) en panne d'inspiration.

Le gouvernement conservateur, n'ayant pas d'opposition, veut que le Canada soit pris au sérieux dans le monde. Ça va couter très cher, et c'est très peu transparent.

L'ADQ s'est fait remettre à sa place aux élections partielles de lundi. Mario aura beau tenter de sauver le bateau, cette caricature publiée dans Le Devoir, aujourd'hui, dit tout... ce que les "experts" se tuent à expliquer. Comme quoi savoir dessiner, ça économise le verbiage.

Bonne... fin de semaine!
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mardi, mai 13

Trouvez pas qu'il a l'air fin, à la télévision?

Je parle de Claude J. Charron, éditeur de La semaine...

Je connais ce type depuis 1988. Je l'ai côtoyé de très près, juste avant qu'il lance le magazine 7 Jours en 1989. Magazine qu'il a revendu depuis, à Quebecor.

La dernière fois qu'on s'est rencontré, c'était dans un Salon du vélo, au palais des congrès, à Montréal. Sa première réaction quand je lui ai dit: Bonjour M. Charron... fût; est-ce qu'on se connait?!? (1)

Oui M. Charron, on se connait très bien.

C'est vous qui avez aussi fondé Le Lundi, que vous avez aussi revendu à Quebecor. En fait, c'est vous le "père", au Québec, de tous ces magazines insipides (2), qui prennent beaucoup (trop?) de place dans les présentoirs. Je reconnais que vous avez du génie pour le genre.

La semaine passée, vous avez réussi un autre coup assez médiatisé, tout en révélant votre vraie nature.

Non mais, c'est pas rien. Le très célèbre Jean-Luc Mongrain, oui ma chère, dans une entrevue exclusive, oui ma chère (bis), avec la non-moins célèbre Nathalie Simard.

Quelle grosse merde que je me dis.

Il reste encore du "cash" à faire avec Nathalie, vous avez bien compris ça M. Charron. Que vous ayez réussi à embarquer Mongrain dans cette histoire prouve qu'en mettant l'argent qu'il faut, on peut acheter n'importe quoi, pour ne pas dire n'importe qui.

Et Mongrain, lui, prouve qu'il est prêt à toutes les bassesses... pour le droit du public à l'information!!!

Mais criss que c'est pathétique.

1- Il n'avait pas aimé que je critique son nouveau truc...

2- Le titre de ce texte est: Opinion: Deux ans dans l'enfer de Trustar. Il pourrait être: Semer de la merde dans l'actualité, pourvu que ça rapporte!
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vendredi, mai 9

La nouvelle épaisse de la semaine, ou...

Agacer l'actualité!

Quand j'ai lu le titre de la nouvelle la première fois, je me suis dit... bof, un potin, ça ne m'intéresse pas!

Sauf que Patrick Lagacé m'a donne envie de savoir ce qu'il en était, il en a parlé dans son blogue. Dans son blogue, Lagacé fait beaucoup de publicités pour ses confrères, un peu pour la concurrence, mais... beaucoup de publicités.

André Cédilot et André Noël ont un excellent texte sur Mme Julie Couillard, ici.

Un excellent texte qu'il dit. Je me suis donc laissé tenter... pour me rendre compte que le texte était très loin d'être excellent. La seule chose qu'on apprend, dans ce texte, au sujet de Julie Couillard, l'"ex-blonde" de vous savez qui, c'est qu'elle a eu comme conjoints, deux motards. Le dernier remontant à une dizaine d'année.

Ça fait deux mois que les journalistes sont sur l'affaire. Et tout ce qu'ils ont trouvé au sujet de Julie Couillard, c'est qu'elle a fréquenté deux motards. C'est tout. Elle n'a jamais été accusée de quoi que ce soit... ni de complicité. Il se pourrait très bien qu'elle ne savait absolument rien de ce que traficotaient ses amoureux.

C'est quoi l'affaire. Y'é où le problème? Elle a bien déjà fréquenté... au moins un politicien.

Faudrait pas penser que ce sont de meilleurs fréquentations!!!
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Non Gilles...

«Est-ce que le premier ministre réalise que le 400e anniversaire de la ville de Québec, c'est la fête de la ville de Québec, de la nation québécoise et non pas de la nation canadienne?» (Cyberpresse)

Ce n'est pas la fête d'une nation, c'est celle d'une ville. TABARNAK de récupération!!!
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jeudi, mai 8

Pas toujours facile...

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mardi, mai 6

Et de six!

Ça fait maintenant 6 mois que j'habite à Radisson. Ça change pas le monde, sauf que...

- L'actualité m'intéresse encore, mais je la trouve juste de plus en plus abrutissante.
- Je suis la "carrière" de Mario et Pauline et je constate que ça ne va pas bien pour eux.
- J'ai déjà écrit que Stephen Harper était potentiellement dangereux. Ce n'est pas normal de vouloir contrôler l'information comme il le fait... mais ça ne dérange personne, apparemment.
- Les inondations n'ont pas donné beaucoup de "viande" aux médias cette année, le hockey a remplacé.

- Le nivellement par le bas se poursuit chez Radio-Canada.
- Les nouvelles TVA avec Pierre Bruneau, c'est très pénible à regarder.
- Je ne lis plus Martineau. Y'a quand même des limites à vouloir observer des blogues insignifiants.
- Je lis encore Lagacé. Le type se prend de plus en plus au sérieux. De ce temps-là, sa "victime" préférée, c'est la Chine. C'est le principe de la brindille et de la poutre. Ça parait bien "dans les salons" de critiquer la Chine... pendant qu'on ne voit pas (ou ne veut pas voir?) qu'un régime totalitaire s'installe au Canada.

- La crise alimentaire, déjà commencée, me fait beaucoup réfléchir. Je travaille dans une épicerie, je vois les prix monter.
- Je pense aux familles à faible revenu, à la classe moyenne. Quelqu'un a déjà prévu que cette dernière disparaitrait, éventuellement.
- J'ai beaucoup de mépris pour les actionnaires inconscients, qui en veulent toujours plus.
- J'aimerais que tous ceux qui ont des actions dans les biocarburants soient mis en prison... pour cause de non-assistance à population en détresse.

- Ça chauffe de plus en plus sur la planète.
- L'Irak et l'Afghanistan sont devenus des faits divers.
- L'industrie de la guerre, les pétrolières et les spéculateurs se frottent les mains.
- Les médias et les politiciens sont complètement absents des vrais débats. Toutes les nouvelles importantes pour la société ne sont pas discutées... ou sont oubliées le lendemain.

Ça fait 6 mois que j'habite à Radisson. Je suis toujours très heureux de ma nouvelle vie. J'aime beaucoup l'impression d'être loin de toute cette folie. Je me dis que je suis parti à temps.

Mais je ne peux pas oublier... que je ne suis pas seul sur cette planète!
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dimanche, mai 4

Bonsoooiiiiirrrrrrrr... ils sont partis!

J'espérais en secret que ça dure un peu plus longtemps, mais bon, le CH s'est fait planter.

C'est que je me suis beaucoup amusé au dépens des partisans des "glorieux", et je ne voulais pas que ça s'arrête. Hier soir, au bar, j'ai monté sur une chaise et j'ai crié le titre de ce billet, à la façon Rodger Brulotte. Et bien entendu, aujourd'hui, j'ai refait le "coup" à l'épicerie.

J'admets que le hockey est notre sport national, mais je n'en reviens jamais de toute l'attention que les médias portent à la chose. Je trouve ça vraiment exagéré et c'est pour ça que je suis toujours content quand le CH se fait éliminer.

Ce qui fait que, fini le Ça sent la coupe, fini Le Canadiens a perdu hier malgré l'appui de ses nombreux partisans , fini les analyses fines de ces experts qui, au début de la saison, prévoyaient que l'équipe finirait en dixième place de son association...

Maintenant que les Québécois n'ont plus leur "jeux", ils remarqueront peut-être que le "pain" risque de couter de plus en plus cher dans les prochains mois!
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J'écoute la dernière émission de Tout le monde en parle, en même temps que j'écris ce billet, et j'aime pas. J'ai l'impression que les quatre premier invités sont là pour "ploguer" quelque chose. Ça désespère Richard Legendre de voir que les gens sont de plus en plus cynique envers les politiciens. Le jour où il atterrira complètement, il comprendra peut-être pourquoi!

Et vous, ça va bien?
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jeudi, mai 1

C'est le mois de Marie, c'est le mois le plus beau!

Marie et moi, on se connait bien. Merci de me lire, chère ange...

Je me sens léger ce soir. Ce matin j'ai lu dans www.ledevoir.com un texte qui m'a pas mal déprimé. Le sujet étant les profits des pétrolières. Et à RDI, on entend que les actionnaires trouvent que ce n'est pas assez.

Non mais, tu parles de des criss d'inconscients...
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