Qu'on se le dise... en rose !

C'est n'importe quoi...

mercredi, juillet 12

Au travail !

Cette semaine je travaillerai à Bois-des-Filion. Je ne sais pas dans quoi car celui qui est venu me chercher sera absent pour les deux prochaines semaines...

La semaine prochaine, c'est St-Jovite. Viendras-tu faire un tour André ?

Je me suis bien reposé hier. Je n'ai absolument rien lu de l'actualité donc je n'ai rien à commenter. Ce carnet sera très tranquille d'ici au milieu septembre. Le travail que je fais demande beaucoup d'énergie et quand ma semaine est fini, je suis "brulé".

Je viendrai vous donner des nouvelles quand j'aurai un accès internet... et le temps.

Bonne semaine !
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mardi, juillet 11

Sacré Carole-Anne...

Carole-Anne, c'est la fille de mon patron. On s'est payé une méchante traite pendant quelques heures la semaine passée... dans les manèges !!!

Carole-Anne, elle a cinq ans. Et faire des manèges avec elle a été mon plus beau moment de la semaine passée. De la voir rire, crier, sourire, être heureuse... ça n'a pas de prix. Que c'était beau, que c'était beau !
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lundi, juillet 10

Des nouvelles de moi...

J'écris ce billet pour vous confirmer que j'ai bel et bien travaillé la semaine passée. Ça ne s'est pas passé tout à fait comme je l'espérais...

Je n'ai pas eu le jeu que j'étais supposé avoir et sur le coup, disons que j'étais extrèmement déçu. Le boss l'a su, évidemment. On s'est expliqué et j'ai finalement compris son point. Il m'a fait une offre raisonnable... en attendant l'expo agricole de Chicoutimi. Deux autres semaines d'enfer et après le nirvana.

Ouais. J'ai vécu une semaine très mouvementée. Je n'arrête pas de me faire des nouveaux ennemis quasiment à tous les jours. C'est que je suis relativement compétent et ça en dérange plusieurs. Vous savez ? Les jaloux. Il n'y a rien de plus criss que les jaloux. Ils sont très dangereux. Ils partent toutes sortes de rumeurs...

Mais je les ai à l'oeil !
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mardi, juillet 4

Il faut que je vous dise...

Que la cour suprème des USA décide que Guantanamo est illégal, c'est une véritable farce.

Les prisonniers seront transférés ailleurs, tout simplement.
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C'était pourtant, tellement prévisible !

Jean-Robert Sansfaçon n'est pas le dernier venu des journalistes. Je trouve ça un peu drôle de le voir faire ce "terrible" constat...

Le gouvernement Harper n'a que cinq mois d'existence et, contrairement aux apparences, il faut constater que l'aventure conservatrice est mal partie pour le Québec. À tel point que même si on ne s'ennuie pas des libéraux, on a envie de crier ceci : plus ça change, plus c'est pareil !

Bon, c'est bon signe. Le journaliste a le goût de crier. Pourvu qu'il continue !
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lundi, juillet 3

Un soldat en guerre, restera toujours un soldat !

J'en aurai toujours contre le fait que les nouvelles les plus intéressantes sortent le samedi. Je penserai toujours que le média qui se livre à cette manipulation veut nous cacher quelque chose...

« On appelle ça faire la guerre. Des soldats qui non seulement entrent chez les gens sans frapper, mais en défonçant des portes. Qui terrorisent des femmes et des vieillards. Et qui menacent de tuer tout le monde à coups de bombes. Et ces soldats sont canadiens. »

Eh oui. Il a fallut que France 2 en fasse un reportage pour que le Journal de Montréal, et son journaliste, constate que c'était la guerre en Afghanistan. Et que les soldats canadiens n'étaient pas mieux que les soldats américains.

Le reportage montre des militaires qui ressemblent davantage à des soldats américains qui débarquent avec leurs gros sabots qu'à des Canadiens venus construire des écoles et donner des bonbons aux enfants.

Je le dis depuis le début, de cette "aventure" canadienne en Afghanistan, il y a tout ce qu'on ne sait pas. Les journalistes de PKP sont aussi au courant de ce fait que moi, comme tous les autres ailleurs, qu'ils soient de Radio-Canada, Le Devoir, La Presse..., mettez les tous.

Supposément qu'il y a des terroristes en Afghanistan. Il doit bien y avoir des résistants aussi, mais les médias ne prononcent ou n'écrivent jamais ce mot. En fait, ce passage dans le texte dit tout...

Devant l'indifférence des Afghans, le militaire sort une liasse de billets, comme ça devant tout le monde. Et il offre une récompense en échange de renseignements sur les cachettes des talibans. Évidemment, les Afghans refusent de vendre leurs compatriotes. L'un d'entre eux explique poliment qu'il ne veut pas d'argent et qu'il défendra son pays avec toute son énergie.

Ces compatriotes qu'on tente de faire passer pour des talibans vont défendre chèrement leur peau. Cette troisième guerre mondiale sera longue et il s'y dépensera beaucoup d'argent. Lors des deux premières, les gens ne pouvaient pas communiquer entre eux comme maintenant. Est-ce que ça pourrait changer quelque chose ?

Peut-être que oui. C'est grâce à l'opinion publique que les soldats américains se sont retirés du Viet-Nam !
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Pas loin mais pas là !

J'ai beau chercher quelque chose à commenter dans l'actualité, je ne trouves rien. On dirait que j'ai décroché depuis que je sais que je n'aurai que très peu de temps dans les deux prochains mois.

Quand je m'éloigne du clavier, j'ai toujours de la misère à m'y remettre. Ce sera peut-être différent cette fois car je me promet d'écrire au moins un billet par semaine ici, et une revue de ce que vous avez écrit, dans La Ruche. Je parle plus souvent de moi dans ce carnet. Ce sera le cas dans les deux prochains mois car je n'aurai vraiment pas le temps de suivre l'actualité. À moins que...

Vous pourriez peut-être m'aider ? Vous me connaissez un peu. Si vous lisez quelque chose et que vous pensez que ça pourrait m'intéresser, envoyez-moi un courriel. Ce serait très gentil. Il ne se passe pas grand chose l'été mais des fois que, je sais pas, l'épidémie de grippe Harper s'aggrave... ou que Boisclair se fasse battre dans Pointe-aux-Trembles. En tout cas, vous voyez ce que je veux dire ?

Moi de mon côté je me concentre sur mon prochain travail. Comme d'habitude ça me stresse, c'est toujours comme ça quand j'essaye quelque chose de nouveau. Mais c'est un bon stress. C'est un stress qui m'aidera à trouver la façon de tenir mon jeu toujours occupé.

J'ai hâte de commencer !
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samedi, juillet 1

Parlons de mon meilleur ami...

Ça ne prend pas grand chose pour me rendre heureux. Et chaque fois que je rencontre mon ami Esperanza, on pourrait dire que le bonheur s'installe automatiquement...

Mon ami Esperanza, c'est un grand monsieur. Un très grand monsieur. Mon ami Esperanza m'a fait une proposition que je ne pouvais pas refuser. Il m'a proposé un "deal" très raisonnable pour les cuillères qui me restait à vendre. C'était les plus belles, les plus performantes... les ceusses que j'aimais le plus... évidemment.

Sur le coup, ça m'a donné un coup. Je suis peut-être plus matérialiste que je le pense. J'ai rouspèté à ma façon, comme d'habitude. Je rouspète souvent, parfois pour rien. Cette fois je rouspètais encore pour rien car mon meilleur ami m'a fait une offre extraordinaire, je ne pouvais pas la refuser. Au début j'étais vraiment récalcitrant, C'est que mon ami est un dur négociateur. Mais mon ami est beaucoup plus qu'un dur négociateur. C'est mon pote... préféré.

J'aimerais ça vous parler d'Esperanza longtemps. Je le connais depuis 1978 et je n'ai jamais regretté de le connaître... même quand il m'a dit un jour que j'étais une larve. Il avait raison à ce moment, j'étais vraiment une larve. Ça remonte à loin... mais on s'en souvient tous les deux.

Mon ami Esperanza est pour moi une inspiration. Chaque fois que je le cotoie c'est un grand moment. Mon ami Esperanza c'est un génie qui s'ignore. Un vrai génie... ne vous trompez pas. Quand mon ami Esperanza prend un instrument de musique dans ses mains, trompez-vous pas, tout s'illumine. Mon ami Esperanza est un génie de la musique, il le sait un peu. Parfois je pleure de joie quand je l'écoute, c'est vous dire.

Je l'ai vu mon vieux pote cette semaine. Il m'a achété mes plus belles cuillères. Comme il l'a dit si bien... C'est mieux que ça soit moi qui te les achètes que n'importe qui d'autres. Mon vieux copain est un copain extraordinaire, je ne cesserai jamais de le penser. Il m'a acheté ce à quoi je tenais le plus... et il m'a offert de tout reprendre quand j'en aurai les moyens. Sérieux, il m'a fait une offre extrèmement intéressante... Quel service tu m'as rendu mon vieux, je t'en serai toujours reconnaissant. Toujours.

Rencontrer mon ami Esperanza, ça ne m'arrives pas souvent mais, c'est chaque fois extraordinaire, rien de moins. Mon ami Esperanza c'est un vrai monsieur. Mon ami Esperanza, je peux lui dire n'importe quoi... et je ne me gène jamais. Mon ami Esperanza vivait au moment où je l'ai rencontré des inquiétudes paralysantes. Je lui ai dit... tu t'inquiètes pour rien mon vieux. Il m'a écouté religieusement... comme il le fait toujours. Il a beaucoup de respect pour mes expériences de vie. Quand je lui dis que la minute qui s'en vient m'appartient et qu'il n'a pas le choix de m'écouter... il est là.

Je t'aime beaucoup Esperanza. Tu le sais. J'ai passé un merveilleux moment avec toi cette semaine. Quand la belle Mélanie a dit que je pouvais racheter mes cuillères à n'importe quel moment... et que tu as approuvé, tu as semé dans mon coeur quelque chose de vraiment gros. Je ne sais pas si je rachèterai la collection. J'ai le goût de te la laisser au complet sachant que tu lui fera honneur. Tu m'as rendu un vraiment grand service mon vieux, je t'en serai toujours reconnaissant...

Je l'aime vraiment mon ami Esperanza, c'est mon meilleur ami.
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