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Je ne comprends pas qu’un être normalement doué de sensibilité ne pleure pas pendant les informations. »
Daniel PennacChaque fois que Gilles Duceppe ouvre sa "trappe", j'ai envie d'en rajouter!
Ce matin, dans
Le Devoir, on pouvait lire que Gilles n'est pas satisfait de la reconnaissance de la nation québécoise par le gouvernement Harper. Il est très inspirant le Gilles...
Gilles: Stephen, s.v.p., fais quelque chose. Ça ne veut rien dire ton affaire...
Stephen: Pourtant, sale con,
t'étais content quand nous avons voté cette
reconnaissance au parlement.
Gilles: Je sais bien Stephen, mais, pitié, ne sois pas trop dur avec moi, je me sens mou.
Stephen: Pauvre naïf. Les sondages sont défavorables pour ton parti, et tu penses que je vais faire quelque chose pour t'aider? T'es vraiment con.
Gilles: Je sais bien que tu ne feras rien mais, laisse-moi continuer de berner mes concitoyens, je veux dire, laisse-moi continuer de défendre leurs intérêts, à Ottawa. Ne pète pas cette "bulle", au moins.
Stephen: Y'a une chose que tu ne comprends pas encore, tes concitoyens ne pas tous imbéciles. Ils commencent à voir votre jeu, vous, les députés inutiles.
Gilles: Hostie que t'es dur...
Stephen: Qu'est-ce que t'as à brailler? Tu vas finir tes jours avec une belle pension à vie.
Gilles: Je sais bien, et j'en suis fier. Mais je voudrais laisser ma marque dans l'histoire du Québec, laisse-moi une chance...
Stephen: Des chances, t'en a eu assez. Ton parti va se faire planter lors des prochaines élections, et ce sera mérité!
Gilles: Mange donc de la marde. Dieu, s.v.p., insuffle un peu d'empathie dans cet homme, tu vois pas qu'il en a grandement besoin!?!
Dieu: Sais-tu quoi Gilles, j'ai juste envie de t'envoyer chier...
Gilles: T'es donc ben rock'n'roll, aujourd'hui, Dieu?
Dieu: Non mais, penses-tu que j'ai rien que ça à faire, écouter tes récriminations?
Gilles: Moi, un si bon catholique. Je vais à la messe à tous les dimanches. Je paye ma dîme, et tout, et tout. Serais-tu aussi sans-coeur, que ce Stephen Harper?
Dieu: Mon tabarnak, je ne te permettrais pas de m'insulter plus longtemps. Harper c'est un dangereux, mais toi et tes amis libéraux permettez que son gouvernement survive. C'est ton ostie de problème... décalisse!
Gilles: Dieu m'a abandonné, Harper veut pas m'aider... je pense que je suis dans la marde.
Guy Vandal: Ça t'apprendra à fourrer le monde, criss de trou-de-cul.
Gilles: Aye, tu vas pas t'en mêler aussi, ça va déjà assez mal de même.
G.V.: Si tu savais comment je suis content...
Gilles: Toi, tu ne nous as jamais compris, ton opinion, la population s'en câlisse.
G.V.: Je sais bien, mais je jouis pareil. Ce n'est pas parce que les carpettes syndicales, oups, les dirigeants syndicaux étaient avec toi en fin de semaine, quand tu as re-quémander plus de "viande" autour du mot nation, que je n'en pense pas moins. L'histoire, si elle est honnête, se rappellera que t'es juste un crosseur de plus, dans le monde politique canadien.
Gilles: Là, j'en ai assez entendu. Je veux m'en aller.
G.V.: Attend, j'ai pas fini...
Gilles: Y'a rien à rajouter.
G.V.: Oui Gilles. Nah, nah, nah, hé, hé... GOOD BYE!
P.S. Je n'apprends rien à personne en disant que je suis tout, sauf politiquement correct. De plus, vous avez dû remarquer que j'utilise de plus en plus le vocabulaire catho dans mes billets.
Au diable les bien-pensants que je me dis. Un juron bien placé, ça économise les pixels!